@Kokiett je suis désolée mais même en travaillant en art/dessin ou encore en littérature, je risque de ne jamais égaler les autres, car je pars de beaucoup trop loin par rapport à d'autres 
Par contre en prépa, ça m'a vraiment appris à travailler, je peux être très productive en un temps limité (par contre après faut une grande pause hein
), ce que le lycée ne m'avait pas appris, et j'ai plusieurs fois travaillé avec certaines personnes étant passé par la fac, et à ce niveau là, elles avaient du mal à suivre sur des projets nécessitant beaucoup de réactivité. Ce n'est pas méchant, juste qu'elle n'ont peut être pas eu les bases pour apprendre à travailler vite et efficacement (il m'a fallu trois ans pour les acquérir). Donc oui, elles avaient plus d'ouverture d'esprit et de capacité de recherche, mais en entreprise ils veulent des gens rapides (loi du marché tout ça....), pour ça que beaucoup hésite à recruter en fac. De plus, selon les filières les "universitaires" peuvent rester toutes leurs études chez les parents, ou très proche de leur ville d'origine, ce qui certaines fois limite beaucoup leur ouverture au monde. Désolé si ce paragraphe te gène, tu peux me reprendre sur certains points, ça ne me dérange pas 
Et oui la société nous formate pour nous pousser à la compétition, et à toujours vouloir se comparer aux autres. Dans d'autres sociétés ce n'est pas ça. Je vais reprendre l'exemple de la Finlande (car je connais bien), ici en cours on ne connait que rarement les notes obtenues par les autres élèves, la seule fois où j'ai eu une très bonne note, le professeur m'a juste dit "t'as obtenue une des plus haute", je n'ai jamais su si première, seconde, etc.... C'est donc une autre mentalité, par contre ça fonctionne car ils sont honnêtes et très timides, donc ils donnent le plus souvent le meilleur d'eux-mêmes (les fainéants existe aussi, mais moins que ce que j'ai pu voir en France durant mes années prépa/écoles, alors qu'ici je suis à l'université. Ça emmène un second problème, comment faire pour juger qui travaille mais a des difficultés? et celui qui ne fait rien mais a quelques facilités?
Je suis en train je remettre en cause ma place dans la société car malgré un bon diplôme et très bientôt un bon salaire, j'ai des doutes sur mon épanouissement professionnel, car on me demandera de nombreuses heures sup qui vont me stresser à la longue, etc. Donc oui, j'ai la possibilité de faire partie de l'élite, mais à quel prix? Je ne vois pas comment cette voie me mènera au bonheur

Par contre en prépa, ça m'a vraiment appris à travailler, je peux être très productive en un temps limité (par contre après faut une grande pause hein


Et oui la société nous formate pour nous pousser à la compétition, et à toujours vouloir se comparer aux autres. Dans d'autres sociétés ce n'est pas ça. Je vais reprendre l'exemple de la Finlande (car je connais bien), ici en cours on ne connait que rarement les notes obtenues par les autres élèves, la seule fois où j'ai eu une très bonne note, le professeur m'a juste dit "t'as obtenue une des plus haute", je n'ai jamais su si première, seconde, etc.... C'est donc une autre mentalité, par contre ça fonctionne car ils sont honnêtes et très timides, donc ils donnent le plus souvent le meilleur d'eux-mêmes (les fainéants existe aussi, mais moins que ce que j'ai pu voir en France durant mes années prépa/écoles, alors qu'ici je suis à l'université. Ça emmène un second problème, comment faire pour juger qui travaille mais a des difficultés? et celui qui ne fait rien mais a quelques facilités?
Je suis en train je remettre en cause ma place dans la société car malgré un bon diplôme et très bientôt un bon salaire, j'ai des doutes sur mon épanouissement professionnel, car on me demandera de nombreuses heures sup qui vont me stresser à la longue, etc. Donc oui, j'ai la possibilité de faire partie de l'élite, mais à quel prix? Je ne vois pas comment cette voie me mènera au bonheur
