@Lothiriel
Alors ça pour une coïncidence !
@Ghost wind
Je ne m'y connais pas des masses mais je "sens" que c'est vrai tout ça, qu'il faut le prendre en compte.
Par rapport à la surpopulation, c'est sûr qu'il faut être raisonné, dire à tout le monde "cessez de faire des enfants", non seulement ça ne marchera pas, mais en plus ce sera totalement contre productif avec des démographies hyper déséquilibrées. Par contre Ghost Wind concernant les pays pauvres, j'ai un avis... partagé Enfin quand je vois mes voisins là, l'une des femmes est enceinte de son 14ème enfant () sauf qu'elle s'occupe pas des 6 ou 7 qui sont encore avec elle, ils chialent toute la journée (j'en peux plus ), elle les frappe pour qu'ils arrêtent de pleurer (la logique )... Alors certes je sais bien que ce n'est pas "sa" faute, dans le sens où les gens n'ont pas accès non seulement à la contraception, mais non plus à l'éducation, donc avec ces deux paramètres en moins... Ou une autre qui est enceinte mais qui ne peut pas allaiter, du coup elle laisse son bébé hurler toute la journée, elle a pas de lait, elle y peut rien, et elle sait pas quoi faire d'autre. (Et non on ne s'en mêlera pas, car c'est leur vie et si y'a un souci après ça nous retombera dessus ).
Dans le bouquin justement ils disaient qu'il ne faut pas faire "trop" d'enfants, car il faut que chaque enfant bénéficie d'un amour inconditionnel et qu'il ait toujours quelqu'un avec lui (pour lui filer de l'énergie en permanence à travers son amour, afin que l'enfant ne soit pas en "rade" d'énergie, sinon ensuite il va développer le truc de domination consistant à voler l'énergie des autres, bref ). Donc deux, trois enfants max, ça va encore, mais audelà c'est pas possible d'accorder suffisamment d'attention à tous ces enfants pour les élever correctement. (Enfin c'est l'idée du bouquin que je retranscris).
Bref, les taux de fécondité très élevés dans les pays pauvres sont quand même vraiment un problème car ça crée des êtres humains mal aimés, mal nourris, peu voire pas éduqués, et... bah c'est pas eux qui vont aider le monde à aller mieux. (Je n'ai pas de solution cela dit, à part l'éducation, je vois pas).
@Primula
Tu peux commencer par la méditation. En vrai, ça "tombe pas dessus", c'est un vrai boulot à faire, de soi-même, ça demande d'être actif. Moi j'essaie de méditer, j'ai énormément de mal et je me trouve plein de contraintes/barrières (du genre "Il me faudrait un prof, ou un livre, ou un truc quoi" ) qui font que je n'avance pas, mais je sais que c'est MOI qui dois faire ce travail, y'a pas de "j'ai besoin d'autre chose". Je sais que la méditation n'a que des vertus, je n'y arrive pas encore, mais je ne me stresse pas non plus par rapport à ça : ça viendra quand ça viendra.
Quand à se satisfaire de ce qu'on a, je sais que si je vivais en France j'aurais énormément de mal. Ici j'ai "pas le choix", on n'a pas de thunes, pas tous les produits, je fais avec et automatiquement mes besoins diminuent "de fait". Encore une fois, c'est un travail "actif" de se convaincre qu'on n'a pas besoin de tel ou tel objet. C'est loin d'être évident et, de la même manière que quand on commence à devenir végé faut pas être trop dur avec soi-même, là c'est pareil. Je suis admirative des végan qui n'ont plus envie de fromage, pourtant ils en ont eu envie aussi, avant, et puis à force d'habitude, ça leur est passé. De même ceux et celles qui peu à peu ne "peuvent" plus manger de viande à cause de l'impact, par empathie ou moralité, ça ne vient pas tout de suite, mais un jour peut-être tu verras un produit qui te fait envie et tu te diras "non, il a été fabriqué dans telles conditions, mon plaisir en serait entaché, donc j'achète pas".
Alors ça pour une coïncidence !
@Ghost wind
Je ne m'y connais pas des masses mais je "sens" que c'est vrai tout ça, qu'il faut le prendre en compte.
Par rapport à la surpopulation, c'est sûr qu'il faut être raisonné, dire à tout le monde "cessez de faire des enfants", non seulement ça ne marchera pas, mais en plus ce sera totalement contre productif avec des démographies hyper déséquilibrées. Par contre Ghost Wind concernant les pays pauvres, j'ai un avis... partagé Enfin quand je vois mes voisins là, l'une des femmes est enceinte de son 14ème enfant () sauf qu'elle s'occupe pas des 6 ou 7 qui sont encore avec elle, ils chialent toute la journée (j'en peux plus ), elle les frappe pour qu'ils arrêtent de pleurer (la logique )... Alors certes je sais bien que ce n'est pas "sa" faute, dans le sens où les gens n'ont pas accès non seulement à la contraception, mais non plus à l'éducation, donc avec ces deux paramètres en moins... Ou une autre qui est enceinte mais qui ne peut pas allaiter, du coup elle laisse son bébé hurler toute la journée, elle a pas de lait, elle y peut rien, et elle sait pas quoi faire d'autre. (Et non on ne s'en mêlera pas, car c'est leur vie et si y'a un souci après ça nous retombera dessus ).
Dans le bouquin justement ils disaient qu'il ne faut pas faire "trop" d'enfants, car il faut que chaque enfant bénéficie d'un amour inconditionnel et qu'il ait toujours quelqu'un avec lui (pour lui filer de l'énergie en permanence à travers son amour, afin que l'enfant ne soit pas en "rade" d'énergie, sinon ensuite il va développer le truc de domination consistant à voler l'énergie des autres, bref ). Donc deux, trois enfants max, ça va encore, mais audelà c'est pas possible d'accorder suffisamment d'attention à tous ces enfants pour les élever correctement. (Enfin c'est l'idée du bouquin que je retranscris).
Bref, les taux de fécondité très élevés dans les pays pauvres sont quand même vraiment un problème car ça crée des êtres humains mal aimés, mal nourris, peu voire pas éduqués, et... bah c'est pas eux qui vont aider le monde à aller mieux. (Je n'ai pas de solution cela dit, à part l'éducation, je vois pas).
@Primula
Tu peux commencer par la méditation. En vrai, ça "tombe pas dessus", c'est un vrai boulot à faire, de soi-même, ça demande d'être actif. Moi j'essaie de méditer, j'ai énormément de mal et je me trouve plein de contraintes/barrières (du genre "Il me faudrait un prof, ou un livre, ou un truc quoi" ) qui font que je n'avance pas, mais je sais que c'est MOI qui dois faire ce travail, y'a pas de "j'ai besoin d'autre chose". Je sais que la méditation n'a que des vertus, je n'y arrive pas encore, mais je ne me stresse pas non plus par rapport à ça : ça viendra quand ça viendra.
Quand à se satisfaire de ce qu'on a, je sais que si je vivais en France j'aurais énormément de mal. Ici j'ai "pas le choix", on n'a pas de thunes, pas tous les produits, je fais avec et automatiquement mes besoins diminuent "de fait". Encore une fois, c'est un travail "actif" de se convaincre qu'on n'a pas besoin de tel ou tel objet. C'est loin d'être évident et, de la même manière que quand on commence à devenir végé faut pas être trop dur avec soi-même, là c'est pareil. Je suis admirative des végan qui n'ont plus envie de fromage, pourtant ils en ont eu envie aussi, avant, et puis à force d'habitude, ça leur est passé. De même ceux et celles qui peu à peu ne "peuvent" plus manger de viande à cause de l'impact, par empathie ou moralité, ça ne vient pas tout de suite, mais un jour peut-être tu verras un produit qui te fait envie et tu te diras "non, il a été fabriqué dans telles conditions, mon plaisir en serait entaché, donc j'achète pas".