@Tamiat
Merci pour tes réponses
J'ai trouvé quelqu'un pour m'accompagner quelques jours, je suis vraiment heureuse, c'est une collègue que j'avais envie d'apprendre à connaître en plus ! Mais du coup pour essayer le voyage "rando/paysages" solo je crois qu'autour de ces vacances je vais faire quelques jours seule pour voir.
Juste une question : comment fonctionnent les auberges de jeunesse ? Et est-ce que ça n'est pas super stressant ? J'aimerais beaucoup visiter la Normandie et ça pourrait coller en terme de géographie avec ce que je vais prévoir avec ma collègue. Je déteste le voyage en tente mais j'ai vu que pour pas cher on pouvait avoir des tentes sur pilotis assez confortables dans des campings, ou des logements qui ressemblent à ce genre de truc (sans sanitaires et pas ultra conforts mais au moins avec un matelas et de l'électricité).
Sinon pour le voisin de bureau, j'abandonne. Ça a commencé à prendre beaucoup de place dans ma tête (coucou l'anxiété) et à gâcher des journées de travail, alors que mon travail c'est vraiment mon havre de paix, j'adore mon emploi, j'adore mes collègues, j'adore l'ambiance qui y règne...
Et puis ensuite, j'ai essayé de provoquer un peu des discussions, et alors que je le sens réceptif (il a l'air tendu à côté de moi, me regarde et se tourne vers moi, il me fait des blagues un peu "qui aime bien chatie bien") il ne se passe rien derrière. Lui ne provoque pas de rencontres particulières. Il ne s'arrête pas à mon bureau. Il n'essaye pas de rester plus longtemps manger avec moi.
Donc deux cas de figure : soit la tension que je sens chez lui à mon égard est vraie et il est très timide. Soit ce que j'imagine est totalement le fruit de mes espoirs et il n'y a rien de réel. Dans les deux cas, c'est chiant, et donc j'arrête. (Mais je crois que j'ai déjà écrit ça avant. Est-ce que je radote ? Probablement
).
Je traverse une période pas très simple en termes de je ne sais même plus : santé physique ? Mentale ? Je n'ai plus d'énergie et j'ai parfois des sujets qui me tracassent. J'ai l'impression que c'est le premier problème qui a amené l'autre, donc il faudrait que j'aille voir un médecin. En tout cas je vois bien que ce qui me sauve et notamment des angoisses d'abandon/de solitude globales c'est ma vie sociale. Donc je la remplis à fond, je vois plein d'amis, je provoque les soirées et la fête (qu'est-ce que ça fait du bien d'aller danser, dernièrement j'ai vécu une de mes meilleures soirées parce que le combo alcool-musique-amis-foule était parfaitement dosé). Et ce qui est chouette c'est que ça provoque un peu d'expériences de séduction et que ça me donne le juste espoir pour mettre cette question sainement de côté. C'est paradoxal, non ? Mais je trouve que c'est quand on a plus d'espoir que cette question devient obsessionnelle ou en tout cas cause de souci. Alors que quand on a un peu espoir, on attend juste de voir la suite.