Ah, j'en ai d'autres qui me viennent.
-Bienvenue chez les chtis: J'essaye encore de comprendre comment il a pu détrôner la grande vadrouille. L'intrigue est famélique et l'humour au zéroième degré.
-Jeux d'enfants: Personnages antipathiques et mort de la mère du héros pas du tout émouvante (pourtant, j'ai la larme facile).
-Kung Fu Panda: Intrigue archi-prévisible et clichés éculés en pagaille.
-Moi, moche et méchant: ça ne m'a fait ni chaud ni froid.
-Saw: Je trouve le propos horriblement prétentieux, le gars qui «ne commet pas vraiment de meurtre» (bah si en fait, légalement parlant, c'est totalement un meurtrier) et qui veut simplement «libérer les gens» (en leur refilant de graves traumatismes psychologiques, super crédible). En plus, le côté «laisser le choix entre la mort et l'automutilation» n'est même pas tout le temps exploité vu qu'il y a des persos qu'auraient rien pu faire pour s'en tirer.
-Hancock: Présenté comme un film où le super-héros est asocial et causant des catastrophes, mais cette part n'est même pas le principal handicap de ce dernier. Non, le principal problème est l'ingratitude des gens qui se foutent éperdument qu'ils sauve des gens et le descendent plus bas que terre juste parce qu'il provoque des dégâts matériels. J'ai trouvé ça super agaçant et j'ai même pas regardé la fin.
Johnny English: Je n'aime pas trop les films qui reposent exclusivement sur la bêtise du perso principal, ça doit jouer.
The good guys: Le problème de ce film est qu'il a été gâché par sa fin, qui laisse un sentiment de «tout ça pour ça ?». C'est dommage, parce que tout le reste était plutôt bon (si on excepte le perso exaspérant de Ryan Gosling).
La vie aquatique: Le film met un temps fou à démarrer et le pitch est débile (le gars qui veut tuer un animal en danger juste parce que ce dernier a tué son pote. Mouais.)
Dikkenek: Aucune histoire, un assemblage incohérent de saynètes sans rapport entre elles, des répliques «cultes» comme seul vague intérêt, une fin abrupte sortie de nulle-part.