Ça fait une demie heure que j’ai lu « La servante écarlate » et il faut que j’en parle absolument !!! (du coup j’en profite pour faire une update de mes dernières lectures)
13. Un livre dont le titre ne contient pas la lettre "e" -
Sulak, Philippe Jaenada
Ayant adoré « La petite femelle » (au point d’en parler à tout le monde dé que j’en avais l’occasion, ou non) j’ai voulu découvrir d’autres biographies de cet auteur et ai été ravie de retrouver son humour et sa plume narratrice. Cette fois ci on va suivre Bruno Sulak, voleur gentleman qui était connu pour ses vols sans violences et ses nombreux échappements de prison. Comme je m’y attendais, il m’a moins marqué, émue et questionné que celui que j’avais découvert précédemment. Cela dit, ça reste une excellente biographie que je recommande chaudement
54. Un classique jeunesse -
Contes, Charles Perrault
C’est avec plaisir que j’ai redécouvert ces contes, avec une préférence pour l’histoire de « Peau d’âne ».
56. Un livre d'un.e auteur.ice allemand.e -
Le parfum, Patrick Süskind
Un livre qui m’a plu et happé du début à la fin, malgré quelques passages qui mettent mal a l’aise.
66. Un livre qui fait partie de la sélection "Our shared shelf" ou proposé parmi le groupe de lecture de Simonae / le club de lecture "Une chambre à nous" -
La servante écarlate, Margaret Antwood
Honnêtement, j’ai eu peur de me lancer dans cette lecture. Des femmes qui deviennent des esclaves sexuelles pour avoir des enfants, je craignais ces passages et des descriptions trop détaillées. Heureusement il y en a peu et la narration est plutôt froide, distante. Bien sûr, ça reste horrible et écœurant, mais je m’attendais à un côté trash plus explicite. J’ai quand même dû arrêter ma lecture quelquefois car c’est clairement pas le roman le plus joyeux au monde.
Dans des commentaires sur plusieurs sites, certains reprochaient les longueurs, le personnage principal assez passif ainsi que sa manière de racontée l’histoire. Je comprends leur point de vue mais ça ne m’a absolument pas dérangée. J’adore les héroïnes « badass », mais ça ne m’empêche pas d’apprécier des personnages plus humains. Cette distance, cette passivité, ... ces actions sont compréhensibles. Toutes ces pensées qui viennent et font des parenthèses avec le moment présent aussi.
Le fait d’être aussi absente et un mode de survie, comment faire sinon ? Ça ne veut pas dire qu’elle ne ressent rien ou qu’elle s’en fou. Au contraire !
Après avoir fermé ce livre, j’ai ressenti comme un coup de massue et après j’ai voulu pleurer d’un coup. Et j’ai fini par vraiment pleurer d’ailleurs, quelques minutes après en repensant à tout ça
Il ne plaira pas à tout le monde, bien sûr. Mais je pense qu’il vaut le coup qu’on lui laisse une chance si jamais vous aviez encore des doutes.
68. Un livre qui vous a fait rire -
Les quatre filles du docteur March, Louisa May Alcott
Une très belle surprise ! J’ai beaucoup aimée suivre ces quatre sœurs, en ayant eu une tendresse particulière pour Beth et Jo