Bon, ça faisait un moment que j'avais envie d'arrêter, un an en fat, depuis que mon copain a lui, arrêté. Et puis à chaque fois je me trouvais des fausses excuses "je suis stressée en ce moment", "non mais là j'ai des soirées ça va pas le faire", "je passe par des moments difficiles" "j'arrêterai quand...".
J'ai commencé à lire le bouquin d'Allen Carr en espérant avoir un déclic, j'ai eu au début la sensation de fumer encore plus. Puis j'ai laissé le bouquin de côté pendant plusieurs semaines.
Il y a 3 semaines, j'ai commencé à avoir des ennuis de santé, je me suis retrouvée aux urgences une première fois, puis une deuxième fois une semaine après. Cette deuxième fois, on m'a annoncé qu'on allait m'opérer rapidement, me retirer la vésicule, que j'allais être hospitalisée, opérée sous anesthésie générale et qu'il fallait que je reste à jeun et que je ne fume pas.
J'avais de toute façon tellement mal que l'idée de fumer ne me traversait même pas l'esprit.
J'aurais pu refumer entre le jour de mon hospitalisation et le jour de mon opération, mais je n'en ai pas eu envie. J'y pensais puis je me disais "mais pour quoi faire?". J'aurais pu refumer après mon hospitalisation. J'aurais pu refumer quand je suis rentrée chez moi, je pourrais refumer maintenant que ça va mieux et que je commence à être remise de mon opération.
Mais en fait non. Mon paquet de cigarettes traîne dans mon sac, j'ai quelques fois envie d'en allumer une, puis j'oublie, et les jours passent sans que j'aie forcément envie de fumer.
Du coup, cela fera trois semaines mercredi que j'ai arrêté, je suis en train de finir le bouquin de Allen Carr et même si des fois je me demande comment je vais faire pour résister à l'envie de fumer avec mes collègues quand je vais reprendre le boulot, je vois bien que je suis beaucoup mieux sans la clope et je reste positive: je n'ai pas la moindre envie de recommencer à fumer.
Je pense que l’hospitalisation et la peur pour ma vie a été un élément déclencheur, même si ce que j'avais n'avait rien à voir avec la clope. Et je me suis sentie tellement mal pendant cette hospitalisation que la clope m'a parue être la pire chose au monde quand j'en avais envie. Je pensais à l'odeur, au goût dans la bouche...
Bref, j'espère que ma clope du 18 Août vers 20h30 était vraiment la dernière.
J'ai commencé à lire le bouquin d'Allen Carr en espérant avoir un déclic, j'ai eu au début la sensation de fumer encore plus. Puis j'ai laissé le bouquin de côté pendant plusieurs semaines.
Il y a 3 semaines, j'ai commencé à avoir des ennuis de santé, je me suis retrouvée aux urgences une première fois, puis une deuxième fois une semaine après. Cette deuxième fois, on m'a annoncé qu'on allait m'opérer rapidement, me retirer la vésicule, que j'allais être hospitalisée, opérée sous anesthésie générale et qu'il fallait que je reste à jeun et que je ne fume pas.
J'avais de toute façon tellement mal que l'idée de fumer ne me traversait même pas l'esprit.
J'aurais pu refumer entre le jour de mon hospitalisation et le jour de mon opération, mais je n'en ai pas eu envie. J'y pensais puis je me disais "mais pour quoi faire?". J'aurais pu refumer après mon hospitalisation. J'aurais pu refumer quand je suis rentrée chez moi, je pourrais refumer maintenant que ça va mieux et que je commence à être remise de mon opération.
Mais en fait non. Mon paquet de cigarettes traîne dans mon sac, j'ai quelques fois envie d'en allumer une, puis j'oublie, et les jours passent sans que j'aie forcément envie de fumer.
Du coup, cela fera trois semaines mercredi que j'ai arrêté, je suis en train de finir le bouquin de Allen Carr et même si des fois je me demande comment je vais faire pour résister à l'envie de fumer avec mes collègues quand je vais reprendre le boulot, je vois bien que je suis beaucoup mieux sans la clope et je reste positive: je n'ai pas la moindre envie de recommencer à fumer.
Je pense que l’hospitalisation et la peur pour ma vie a été un élément déclencheur, même si ce que j'avais n'avait rien à voir avec la clope. Et je me suis sentie tellement mal pendant cette hospitalisation que la clope m'a parue être la pire chose au monde quand j'en avais envie. Je pensais à l'odeur, au goût dans la bouche...
Bref, j'espère que ma clope du 18 Août vers 20h30 était vraiment la dernière.