@Lune0103 en soit, je suis d'accord avec ce que tu écris. Mais je le redis, pour moi entre la réalité et la théorie, il y a tout un monde. La propriété intellectuelle (droit à l'image, droit d'auteur, création protégée par un brevet...), c'est vraiment super compliqué à faire valoir, et aujourd'hui TLM s'en fout ou presque. Dans les faits, à l'ère du presque tout numérique, quand les crédits/copyright ou autres mentions légales précisés sous la publication originale sont mentionnées lors du partage, même sans avoir sollicité l'auteur(e) ou le modèle, la pratique est très largement tolérée (sauf si c'est à des fins commerciales ou que ça porte atteinte à quelqu'un ou quelque chose comme une institution comme tu le soulignes judicieusement). Et les avatars, c'est un exemple parmi d'autres d'une tolérance totale pour le partage de particulier sans respecter aucun droit.
Étant du côté créa de la force, je sais une chose : publier en ligne = autoriser malgré soi la réutilisation du contenu de la publication, et cela malgré les lois. Pour cela que lors de ma formation, on nous a appris à protéger nos visuels pour pouvoir en cas de plagiat/vol etc. être en mesure de prouver en être l'auteur(e) (exemple tout bête : garder les photos d'origines privées et publier des photos retouchées : compressées, recadrées, avec une signature incluse...).
D'ailleurs, le droit d'auteur s'applique aussi aux textes, en soit on ne peut pas citer comme on veut un texte en ligne. Par exemple pour un article de presse, on a le droit de le citer en ligne partiellement uniquement et seulement si on donne le lien vers la publication originelle. Or je ne vois ceci appliqué que rarement.
Bref, pour moi dans le cas de Kesta, elle peut continuer tranquille à alimenter son Insta (d'ailleurs Méta - comme d'autres - bafoue le droit d'auteur avec ces CGU stipulant que toute publi sur ces réseaux devient sa propriété, ce qui contrevient avec le droit français).