J’apporte ma pierre à l’edifice sur Werber.
Il a longtemps fait partie de mes auteurs préférés. Je rejoins une Madz sur le fait qu’il aime écrire des histoires sur des longues périodes de temps, il s’agit parfois plus d’essai que de véritables romans.
Par exemple j’aime beaucoup son histoire depuis le seul thanatonautes jusqu’au Dieux. Je trouve que c’est bourré d’idée sur la foi, la religion, mais aussi le gouvernement, l’histoire qui se répète, le parallélisme humain animaux.
J’ai adoré la trilogies des Fourmis, sur la place de l’humanite, et la foi, la religion, la prédominance des fourmis.
Mais mon préférée reste l’ultime secret et sa recherche de la motivation ultime.
Mais ce qui m’a fait arrêté de lire, c’est la répétition de ses thèmes. Ses recueils de nouvelles sont en fait un condensés de ce que l’on retrouvent dans tout ses livres.
La prédominance des rats est abordés dans une de ses nouvelles, rapidement dans Le papillon des etoiles et bien sur dans sa trilogie des dieux, et dans l’empire des anges par le personnage de Jacques. Rire pendant l’amour et le sujet d’une de ses nouvelles et la toute fin d’un de ces roman. Les fourmis sont symbolisés par Edmund Wells, dit comme majoritaire dans Le papillon des étoiles.Les chats sont des etres transmettant des impulsions des anges, et puis voila un livre mettant en scène la psychologie des chats (livre que je n’ai pas aimé au passage)... même les dauphins de Michael, sont déjà représentés comme symbole de paix pour le personnage d’Isidore.
Bref les mêmes idées en boucle sans subtilités à force. Et ces recueils de nouvelles paraissent presque comme des esquisses (Une nouvelle sur des élèves dieux!) qui ont fini de me convaincre (et ce qu’est que mon opinion) que Werber a eu de très grandes idées, qu’il recyclent.