@Yoonishan : Je me sers de cette technique pour différencier l'auto-flagellation inutile, de la vraie exigence bienfaitrice en fait. Remettre les choses en perspective ainsi, c'est un moyen pour moi de voir si je vais trop loin ou non.
Par exemple, si je fais un burn-out et que je pense à quitter mon job : ma première réaction va être de me sentir faible, d'avoir la sensation d'abandonner facilement, d'être la dernière des nulles incompétentes, que je ne vaux rien, que j'ai lamentablement échoué... Alors que si je pense à mon amie qui quitte son job pour les mêmes raisons, je me dis qu'au contraire, c'est une personne courageuse qui se respecte et veut le meilleur pour elle, qu'elle mérite mieux, qu'elle a raison d'aller de l'avant, qu'elle est déjà forte d'avoir tenu si longtemps etc.
Autre exemple concret : si je fais une crasse à quelqu'un (tromper mon conjoint, répéter une confidence, médire sur quelqu'un qui ne m'a rien fait...). Ben là clairement, si mon amie fait la même chose, je vais aussi trouver que c'est vraiment nul comme comportement. Donc j'assumerais mes actes.
Donc ce n'est pas un moyen de me dédouaner, juste de prendre un peu de hauteur par rapport à ce que je ressens, et éviter de me laisser embarquer par mon manque de confiance en moi ! Je ne sais pas si j'ai bien compris ton message, mais pour moi il ne s'agit pas du tout de se positionner en victime, juste d'aborder la réalité sous un autre angle et au contraire de me défaire de mon côté Caliméro ("j'suis qu'une naze").
Par exemple, si je fais un burn-out et que je pense à quitter mon job : ma première réaction va être de me sentir faible, d'avoir la sensation d'abandonner facilement, d'être la dernière des nulles incompétentes, que je ne vaux rien, que j'ai lamentablement échoué... Alors que si je pense à mon amie qui quitte son job pour les mêmes raisons, je me dis qu'au contraire, c'est une personne courageuse qui se respecte et veut le meilleur pour elle, qu'elle mérite mieux, qu'elle a raison d'aller de l'avant, qu'elle est déjà forte d'avoir tenu si longtemps etc.
Autre exemple concret : si je fais une crasse à quelqu'un (tromper mon conjoint, répéter une confidence, médire sur quelqu'un qui ne m'a rien fait...). Ben là clairement, si mon amie fait la même chose, je vais aussi trouver que c'est vraiment nul comme comportement. Donc j'assumerais mes actes.
Donc ce n'est pas un moyen de me dédouaner, juste de prendre un peu de hauteur par rapport à ce que je ressens, et éviter de me laisser embarquer par mon manque de confiance en moi ! Je ne sais pas si j'ai bien compris ton message, mais pour moi il ne s'agit pas du tout de se positionner en victime, juste d'aborder la réalité sous un autre angle et au contraire de me défaire de mon côté Caliméro ("j'suis qu'une naze").
Dernière édition :
. 
.
