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Je ne comprends pas
- Initiateur de la discussion Hawley
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Membre supprimé 359013
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C'est affreux parce que j'ai toujours peur qu'il fasse une connerie, qu'il en vienne à se suicider, ou qu'on le retrouve mort chez lui... J'envisage vraiment les pires scénarios possibles, c'est pour ça que je me disais qu'il y avait peut-être quelque chose à sauver, mais à l'évidence non. C'est pénible. J'aurais vraiment jamais pensé que ça prendrait ces proportions.
Et maintenant que je sais qu'il a menacé le nouveau mec de son ex, j'ai franchement peur pour le jour où je trouverai quelqu'un.
Je crois que ma meilleure décision a été de ne pas me mettre en couple avec lui...
Et maintenant que je sais qu'il a menacé le nouveau mec de son ex, j'ai franchement peur pour le jour où je trouverai quelqu'un.
Je crois que ma meilleure décision a été de ne pas me mettre en couple avec lui...
@Jester. Je dors relativement bien, je fais du sport quasi quotidien et les jours où je bois un truc cafféiné, c'est maximum 2 tasses de Ricoré 
Et je mange pas parfaitement mais ça reste correct (je ne mange pas "pire" récemment, en tout cas)
J'ai juste l'impression que c'est mon cerveau qui a décidé "ce mois-ci, on sera des gros angoissés"
Et je mange pas parfaitement mais ça reste correct (je ne mange pas "pire" récemment, en tout cas)J'ai juste l'impression que c'est mon cerveau qui a décidé "ce mois-ci, on sera des gros angoissés"
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Membre supprimé 359013
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@Urbosa @Esturgeon @RainyMood Merci 
Effectivement si je connaissais quelqu'un dans cette situation, je lui dirais de fuir immédiatement.
Et d'ailleurs, je pense qu'il vaut mieux lâcher complètement l'affaire, à bien y réfléchir. Il n'y a sans doute rien de récupérable, et peut-être même que la "discussion" que mes amis espèrent ne fera qu'envenimer les choses.
Effectivement si je connaissais quelqu'un dans cette situation, je lui dirais de fuir immédiatement.
Et d'ailleurs, je pense qu'il vaut mieux lâcher complètement l'affaire, à bien y réfléchir. Il n'y a sans doute rien de récupérable, et peut-être même que la "discussion" que mes amis espèrent ne fera qu'envenimer les choses.
Je ne comprends pas d'où sortent tous les gens. Sur la route, les bouchons sont pires qu'avant le covid même en partant dès 6h45. Ça bouchonne à des endroits où ça ne bouchonnait jamais avant. Alors on pourrait croire que c'est parce que les gens prennent moins les transports en commun mais j'ai une collègue qui les prend et qui pareil, n'a jamais vu autant de monde de sa vie. Mon conjoint qui travaille en pharmacie n'a jamais fait d'aussi grosses journées... est-ce que c'est parce qu'on s'est tellement deshabitué de la foule qu'on ne voit plus que ça ? Je croyais que plein de gens étaient partis vivre à la campagne...
@doomie Je ne sais pas pour les transports en commun mais oui, c'est la grosse merde actuellement sur les routes. Même si il y a pas mal d'entreprises qui ont gardé du télétravail.
Mais j'ai l'impression qu'il y a plus de parents qui conduisent et vont chercher leurs enfants à l'école maintenant qu'avant.
Pour ne pas faire un doublon, j'ajoute mon "je ne comprends pas" du jour ici.
Je regarde un reportage sur l'euthanasie actuellement et la fin de vie (+ j'ai également été confrontée à ces problématiques, travaillant avec des personnes très âgées). Et j'ai beau tout à fait respecté ce choix et être contente que ce soit possible (ici), je ne comprends pas comment on peut ne pas avoir envie de se battre pour sa vie.
Alors, c'est sûrement car je suis encore jeune et nulle part dans ma vie ET que la mort m'angoisse au plus haut point (on est presque sur de la phobie à ce niveau). Mais de mon point vue de jeune personne, la vie est déjà beaucoup beaucoup beaucoup trop courte, je serais prête à tout pour la prolonger un maximum, pour grappiller la moindre miette de vie en plus (d'ailleurs sûrement pour ça que je ne supporte pas la moindre perte de temps et le travail).
J'ai beau imaginé la pire des situations, paralysée à 100%, douleur etc, je voudrais qu'on s'acharne sur moi pour me maintenir en vie.
Ca me fascine autant que ça m'angoisse un peu. Je peux pas m'empêcher de me dire "mais, ces gens, ils savent qu'une fois qu'on meurt, il n'y a plus rien du tout ? qu'on cesse d'exister ?" . Je me doute bien que oui, que les demandes d'euthanasie ne sont pas que le fait de gens qui se disent "boh après ce sera le Paradis, c'est cool". Et pourtant... Ca semble si fou pour moi de préférer la mort à la vie.
Je me demande si il y a des niveaux différents de pulsions de vie selon les gens, selon les moments de la vie et comment font ces personnes pour être si à l'aise avec l'idée de mourir (dans le reportage que je regarde, pour la plupart, on dirait qu'ils sont en train de parler d'une opération de la hanche).
Je voudrais vos avis là-dessus, ça m'intéresserait beaucoup d'avoir des avis divers et variés ! (que ce soit l'euthanasie, le non-acharnement thérapeutique...)
Mais j'ai l'impression qu'il y a plus de parents qui conduisent et vont chercher leurs enfants à l'école maintenant qu'avant.
Pour ne pas faire un doublon, j'ajoute mon "je ne comprends pas" du jour ici.
Je regarde un reportage sur l'euthanasie actuellement et la fin de vie (+ j'ai également été confrontée à ces problématiques, travaillant avec des personnes très âgées). Et j'ai beau tout à fait respecté ce choix et être contente que ce soit possible (ici), je ne comprends pas comment on peut ne pas avoir envie de se battre pour sa vie.
Alors, c'est sûrement car je suis encore jeune et nulle part dans ma vie ET que la mort m'angoisse au plus haut point (on est presque sur de la phobie à ce niveau). Mais de mon point vue de jeune personne, la vie est déjà beaucoup beaucoup beaucoup trop courte, je serais prête à tout pour la prolonger un maximum, pour grappiller la moindre miette de vie en plus (d'ailleurs sûrement pour ça que je ne supporte pas la moindre perte de temps et le travail).
J'ai beau imaginé la pire des situations, paralysée à 100%, douleur etc, je voudrais qu'on s'acharne sur moi pour me maintenir en vie.
Ca me fascine autant que ça m'angoisse un peu. Je peux pas m'empêcher de me dire "mais, ces gens, ils savent qu'une fois qu'on meurt, il n'y a plus rien du tout ? qu'on cesse d'exister ?" . Je me doute bien que oui, que les demandes d'euthanasie ne sont pas que le fait de gens qui se disent "boh après ce sera le Paradis, c'est cool". Et pourtant... Ca semble si fou pour moi de préférer la mort à la vie.
Je me demande si il y a des niveaux différents de pulsions de vie selon les gens, selon les moments de la vie et comment font ces personnes pour être si à l'aise avec l'idée de mourir (dans le reportage que je regarde, pour la plupart, on dirait qu'ils sont en train de parler d'une opération de la hanche).
Je voudrais vos avis là-dessus, ça m'intéresserait beaucoup d'avoir des avis divers et variés ! (que ce soit l'euthanasie, le non-acharnement thérapeutique...)
Dernière édition :
@pikalovescoke
Moi c'est l'inverse. Je ne comprends pas qu'on veuille s'acharner à maintenir en vie ou à se faire maintenir en vie dans certaines circonstances. Avoir mal à en crever chaque seconde de ma vie et/ou être un légume incapable de m'occuper de moi-même voire de penser par moi-même et de m'exprimer, ça me terrorise complètement. La vie est faite pour en profiter. Et être allongée 24h/24 dans une chambre médicalisée, soit en en étant inconsciente soit en souffrant, ce n'est pas ma façon de profiter de la vie, je ne vois pas l'intérêt.
Si je suis dans le coma, je veux qu'on me débranche au bout d'un an grand max.
Si je suis atteinte d'une maladie neurodégénérative, je veux pouvoir partir paisiblement avant que ma vie soit un véritable supplice.
J'ai vu trop de patient•e•s souffrir, physiquement et/ou mentalement pour vouloir devenir pareil...
Moi c'est l'inverse. Je ne comprends pas qu'on veuille s'acharner à maintenir en vie ou à se faire maintenir en vie dans certaines circonstances. Avoir mal à en crever chaque seconde de ma vie et/ou être un légume incapable de m'occuper de moi-même voire de penser par moi-même et de m'exprimer, ça me terrorise complètement. La vie est faite pour en profiter. Et être allongée 24h/24 dans une chambre médicalisée, soit en en étant inconsciente soit en souffrant, ce n'est pas ma façon de profiter de la vie, je ne vois pas l'intérêt.
Si je suis dans le coma, je veux qu'on me débranche au bout d'un an grand max.
Si je suis atteinte d'une maladie neurodégénérative, je veux pouvoir partir paisiblement avant que ma vie soit un véritable supplice.
J'ai vu trop de patient•e•s souffrir, physiquement et/ou mentalement pour vouloir devenir pareil...
Dernière édition :
Perso sur la fin de vie j ai rédigé mes dispositions anticipées vous pouvez les trouver facilement sur le net. Faites des doubles posez vous . Mais surtout prenez le temps... S agissant du sort qu on a et qu on pourrait avoir: la mort est ineluctable jouir de la vie ne l est pas forcement toujours possible a nous donc de changer de regard pour moins encaisser ( on va prendre cher quelques fois je n ai aucune illusion sur ce point).
@pikalovescoke Si seulement cela avait été possible, ma grand-mère aurait voulu se faire euthanasier. Et vraiment, ça aurait été préférable. Cancer généralisé, des jours et des nuits de souffrance, à hurler, "Maman au secours viens me chercher"... Ma grand-mère qui avait toujours été un roc indémontable, qui tenait tête à tout le monde, qui avait réellement un caractère à chier ; la voir supplier comme ça, supplier que ça s'arrête, appeler sa mère, et souffrir. Souffrir pour quoi ? Pour dire "elle est encore là" ? Parce que comme je l'entends parfois "la vie humaine est sacrée" ? Mais non... La vie n'est pas la souffrance.
Quand une personne est dans le coma, on se dit toujours "c'est possible qu'il se réveille au bout de X mois, années, on ne sait pas"... Mais les séquelles cérébrales ? Les gens qui sortent indemnes d'un coma, sans aucune séquelle, frais comme des gardons, ça n'arrive que dans les films.
Quand on est atteint d'une maladie incurable et que le stade est trop avancé, qu'on sait qu'il n'y aura pas de retour possible, je pense que ça ne sert plus à rien. J'avais un voisin à qui on avait diagnostiqué la maladie de Charcot. On l'a vu dépérir très très vite. Et puis un jour on a entendu un coup de feu. Il connaissait l'issue, la paralysie totale progressive, finir dans un lit pleinement conscient mais avec le tonus d'une huître...
Ça va peut-être paraître extrême, mais je pense que dans ces cas-là, la mort est une libération. C'est la fin des souffrances.
Pour avoir vu des gens en perte d'autonomie totale, ou des gens en proie à des douleurs physiques insurmontables que même la morphine ne calme pas... J'ai pas envie de vivre ça. Se battre oui, mais à un moment, il vaut peut-être mieux partir en paix.
Quand une personne est dans le coma, on se dit toujours "c'est possible qu'il se réveille au bout de X mois, années, on ne sait pas"... Mais les séquelles cérébrales ? Les gens qui sortent indemnes d'un coma, sans aucune séquelle, frais comme des gardons, ça n'arrive que dans les films.
Quand on est atteint d'une maladie incurable et que le stade est trop avancé, qu'on sait qu'il n'y aura pas de retour possible, je pense que ça ne sert plus à rien. J'avais un voisin à qui on avait diagnostiqué la maladie de Charcot. On l'a vu dépérir très très vite. Et puis un jour on a entendu un coup de feu. Il connaissait l'issue, la paralysie totale progressive, finir dans un lit pleinement conscient mais avec le tonus d'une huître...
Ça va peut-être paraître extrême, mais je pense que dans ces cas-là, la mort est une libération. C'est la fin des souffrances.
Pour avoir vu des gens en perte d'autonomie totale, ou des gens en proie à des douleurs physiques insurmontables que même la morphine ne calme pas... J'ai pas envie de vivre ça. Se battre oui, mais à un moment, il vaut peut-être mieux partir en paix.
J'ai failli mourir à 25 ans, sur une route départementale, parce qu'une connasse téléphonait au volant et qu'elle a quitté la route. Depuis, la vie, la mort, ce sont des questions qui reviennent tous les jours. J'ai vu mourir des proches sous mes yeux.
Je suis toujours en thérapie à propos de ça.
J'apprends à vivre avec l'idée qu'on va mourir. Quand on expérimente ça, cette mort soudaine, brutale, qui nous arrive dessus sans qu'on s'y attende... C'est tout qui est remis en question.
Si j'étais perdue dans une maladie incurable, je ne sais pas comment je réagirais. Je ne sais pas si j'aurais le courage de me battre, de me faire opérer, de suivre un traitement pour gagner quelques semaines, quelques mois... Ou si je dirais que je veux profiter du temps qu'il me reste en "bonne" santé, et partir quand ça ne vaut plus la peine. La fin est la même.
J'ai toujours eu peur de la mort, d'aussi loin que je m'en souvienne. Depuis le jour où j'ai appris qu'on allait y passer un jour, ça a été un grand trauma. Je ne me fais pas d'illusion, ça ne se résoudra sans doute jamais. Mais à choisir entre partir dans les souffrances, ou m'endormir 'tranquillement'... Je pense avoir une idée de ce que je préfèrerais.
Si je peux vous faire une confidence, je vis dans un paradoxe. Je suis hypocondriaque, je me fais une montagne de la moindre douleur, et je vais pourtant très rarement passer des examens... parce que j'ai peur qu'on me trouve quelque chose de grave.
Si ça peut t'aider @pikalovescoke , François Ozon a fait plusieurs films sur le sujet.
Je suis toujours en thérapie à propos de ça.
J'apprends à vivre avec l'idée qu'on va mourir. Quand on expérimente ça, cette mort soudaine, brutale, qui nous arrive dessus sans qu'on s'y attende... C'est tout qui est remis en question.
Si j'étais perdue dans une maladie incurable, je ne sais pas comment je réagirais. Je ne sais pas si j'aurais le courage de me battre, de me faire opérer, de suivre un traitement pour gagner quelques semaines, quelques mois... Ou si je dirais que je veux profiter du temps qu'il me reste en "bonne" santé, et partir quand ça ne vaut plus la peine. La fin est la même.
J'ai toujours eu peur de la mort, d'aussi loin que je m'en souvienne. Depuis le jour où j'ai appris qu'on allait y passer un jour, ça a été un grand trauma. Je ne me fais pas d'illusion, ça ne se résoudra sans doute jamais. Mais à choisir entre partir dans les souffrances, ou m'endormir 'tranquillement'... Je pense avoir une idée de ce que je préfèrerais.
Si je peux vous faire une confidence, je vis dans un paradoxe. Je suis hypocondriaque, je me fais une montagne de la moindre douleur, et je vais pourtant très rarement passer des examens... parce que j'ai peur qu'on me trouve quelque chose de grave.
Si ça peut t'aider @pikalovescoke , François Ozon a fait plusieurs films sur le sujet.
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Membre supprimé 359013
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Merci de vos témoignages
D'un point de vue purement rationnel, oui, je comprends que personne ne veut souffrir. (et je suis persuadée que moi-même je chercherais à échapper à la souffrance. Oui, acharner vous à arrêter ma souffrance). Mais émotionnellement, mon cerveau entier fait "non non non, mourir, c'est non".
Et en plus, pour moi, mourir, ce n'est pas arrêter les souffrances et à la fois ci. Oui, on ne souffre plus mais car on n'est plus et ce qui n'est pas ne peux pas souffrir ou ne pas souffrir. Je crois que je vais trop loin mais en gros, pour moi, on ne profite pas du fait de ne plus souffrir, vu qu'on n'est plus, donc finalement, on ne connaît pas la paix. On souffre, puis on n'est plus. (oui, j'ai passé beaucoup de nuits blanches sur le sujet)
Vraiment, j'arrive pas à mettre le doigt sur ce qui m'angoisse dans l'euthanasie ou le non-acharnement. Alors qu'en soi, je suis 100% POUR l'euthanasie (ce n'est juste pas un choix que je ferais pour moi et je ne saurais pas être dans la pièce si un de mes proches le choisissaient).
Et je plussoie @noem998: Faire ses choix de fin de vie, c'est ultra important. Autant pour ce que l'on veut au niveau des soins qu'après la mort
D'un point de vue purement rationnel, oui, je comprends que personne ne veut souffrir. (et je suis persuadée que moi-même je chercherais à échapper à la souffrance. Oui, acharner vous à arrêter ma souffrance). Mais émotionnellement, mon cerveau entier fait "non non non, mourir, c'est non".
Et en plus, pour moi, mourir, ce n'est pas arrêter les souffrances et à la fois ci. Oui, on ne souffre plus mais car on n'est plus et ce qui n'est pas ne peux pas souffrir ou ne pas souffrir. Je crois que je vais trop loin mais en gros, pour moi, on ne profite pas du fait de ne plus souffrir, vu qu'on n'est plus, donc finalement, on ne connaît pas la paix. On souffre, puis on n'est plus. (oui, j'ai passé beaucoup de nuits blanches sur le sujet)
Vraiment, j'arrive pas à mettre le doigt sur ce qui m'angoisse dans l'euthanasie ou le non-acharnement. Alors qu'en soi, je suis 100% POUR l'euthanasie (ce n'est juste pas un choix que je ferais pour moi et je ne saurais pas être dans la pièce si un de mes proches le choisissaient).
Et je plussoie @noem998: Faire ses choix de fin de vie, c'est ultra important. Autant pour ce que l'on veut au niveau des soins qu'après la mort
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