@7Tangerine6: Merci pour le lien. J'aimais beaucoup Sophie Riche et ce sont de très bons conseils (transposables à tous les secteurs d'activité)!
@Cococinulle: Tout ce que tu viens de dire.... Je plussoie x1000!
@ Marie: Vu qu'il semble de bon ton chez Madmoizelle de prendre tout personnellement (y compris les remarques constructives), je vais en faire de même. Le passage suivant m'offense:
@ l'attention de l'équipe et des autres madz:
Les interrogations soulevées dans mes précédents postes étaient rhétoriques. Elles n'appelaient pas de réponses. Au risque de me répéter, en tant que lectrices, nous n'avons pas à savoir tout ce qu'il se passe au sein de la rédac'. Toutefois, j’espérais susciter un sursaut de votre part et alimenter l'analyse de vos pratiques. C'est pourquoi les réactions de l'équipe me frustrent tant. Vous semblez vous complaire dans la victimisation. Sans vous remettre une seconde en question.
Initialement, j'avais choisi de vous accorder une sorte de sursis. La tentation de vous boycotter était pourtant grande. Mais je pensais attendre l'annonce de la nouvelle ligne éditoriale. Votre gestion de cette crise devait également entrer en considération. Votre posture me facilite aujourd'hui grandement la tâche.
Dorénavant, ça sera donc sans moi. C'est une décision tout à fait rationnelle. Continuer à vous lire aurait été un choix de cœur. Je ne veux pas/plus cautionner indirectement une politique RH qui au mieux frôle l'amateurisme et au pire contrevient au droit du travail de manière abjecte. Ciao!
@Cococinulle: Tout ce que tu viens de dire.... Je plussoie x1000!
@ Marie: Vu qu'il semble de bon ton chez Madmoizelle de prendre tout personnellement (y compris les remarques constructives), je vais en faire de même. Le passage suivant m'offense:
Je le trouve insultant pour les victimes de violences managériales. Plein de raisons peuvent expliquer que certaines d'entre elles restent en poste (ex: précarité économique, mécanismes insidieux de ces pratiques toxiques, etc). C'est malvenu de mettre en cause leur intelligence (or lack thereof) et d'insinuer qu'elles manquent de volonté et/ou de libre-arbitre. En ayant moi-même fait les frais, la pilule est sacrément dure à avaler. Je trouve ça gros venant de quelqu'un qui 1) a connu le harcèlement en entreprise et, 2) travaille pour une revue féministe dénonçant le victim blaming à tour de bras...Triste que vous pensiez qu'une vingtaine de meufs n'aient pas assez de libre-arbitre et de volonté pour être maitresses de leurs vies.
Et triste, c'est l'adjectif poli que j'ai trouvé pour pas dire que je suis en colère. J'en ai marre que des personnes invalident notre vérité, notre histoire, notre volonté, notre intelligence. C'est insupportable.
@ l'attention de l'équipe et des autres madz:
Les interrogations soulevées dans mes précédents postes étaient rhétoriques. Elles n'appelaient pas de réponses. Au risque de me répéter, en tant que lectrices, nous n'avons pas à savoir tout ce qu'il se passe au sein de la rédac'. Toutefois, j’espérais susciter un sursaut de votre part et alimenter l'analyse de vos pratiques. C'est pourquoi les réactions de l'équipe me frustrent tant. Vous semblez vous complaire dans la victimisation. Sans vous remettre une seconde en question.
Initialement, j'avais choisi de vous accorder une sorte de sursis. La tentation de vous boycotter était pourtant grande. Mais je pensais attendre l'annonce de la nouvelle ligne éditoriale. Votre gestion de cette crise devait également entrer en considération. Votre posture me facilite aujourd'hui grandement la tâche.
Dorénavant, ça sera donc sans moi. C'est une décision tout à fait rationnelle. Continuer à vous lire aurait été un choix de cœur. Je ne veux pas/plus cautionner indirectement une politique RH qui au mieux frôle l'amateurisme et au pire contrevient au droit du travail de manière abjecte. Ciao!
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