Déso- Le tome 2 des Sept sœurs de Lucinda Riley, La sœur de la tempête, comme promis par @La Dame Grise c'était pourrimais genre vraiment, j'ai soupiré pendant 758 pages, ce qui fait beaucoup de soupirs ...
Quel livre lisez-vous en ce moment ?
- Initiateur de la discussion Yana
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- les essentiels
Fini deux bd aujourd'hui. Peaux de mille bêtes de chépluki et ma vie posthume de Hubert. Les deux étaient sympas sans plus.
@Elyon_64 Comme promis, je te fais un retour après avoir commencé ma lecture de webtoons grâce à tes conseils 
J'ai donc attaqué avec "Traditions d'Olympus", qui m'a accompagnée pendant un voyage en train pendant lequel je n'avais pas de roman ! J'en suis au chapitre 26 je crois et j'aime beaucoup ! Les graphismes sont très étonnants, j'aime bien ce système de couleurs dans des décors très tranchés. Il y a certaines cases sublimes, notamment grâce aux postures des personnages.
Je trouve aussi que c'est une façon rigolote de revisiter la mythologie et il y a déjà des personnages que je trouve trop cools (pour une fois que Héra est plutôt quelqu'un de chouette et pas une horrible harpie jalouse comme montrée dans... toute la mythologie grecque
) J'ai bien rigolé à plusieurs reprises !
Pardon pour ce long retour, je voulais vraiment prendre le temps de te donner mes impressions vu que tu as pris du tien pour me donner tous ces conseils !
C'est vraiment une découverte cool, merci du conseil ! J'ai hâte de me plonger dans tes autres recommandations.
J'ai donc attaqué avec "Traditions d'Olympus", qui m'a accompagnée pendant un voyage en train pendant lequel je n'avais pas de roman ! J'en suis au chapitre 26 je crois et j'aime beaucoup ! Les graphismes sont très étonnants, j'aime bien ce système de couleurs dans des décors très tranchés. Il y a certaines cases sublimes, notamment grâce aux postures des personnages.
Je trouve aussi que c'est une façon rigolote de revisiter la mythologie et il y a déjà des personnages que je trouve trop cools (pour une fois que Héra est plutôt quelqu'un de chouette et pas une horrible harpie jalouse comme montrée dans... toute la mythologie grecque
) J'ai bien rigolé à plusieurs reprises !
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Pardon pour ce long retour, je voulais vraiment prendre le temps de te donner mes impressions vu que tu as pris du tien pour me donner tous ces conseils !
C'est vraiment une découverte cool, merci du conseil ! J'ai hâte de me plonger dans tes autres recommandations.
J'ai lu Miniaturiste de Jessie Burton.
À travers Nella, jeune mariée hollandaise du XVIIe siècle, on intègre la famille de notables amstellodamois, les Brandt.
Une famille abritant bon nombre de mystères qui vont se révéler progressivement, autour d'une étrange maison de poupée.
Dans cette atmosphère feutrée mais aussi oppressante qui n'est pas sans rappeler Rebecca ou La jeune fille à la perle, Jessie Burton a réussi à me tenir en haleine. Les thématiques, les personnages m'ont surpris. J'ai également beaucoup aimé la construction du roman. Mais je regrette la fin un peu frustrante.
À travers Nella, jeune mariée hollandaise du XVIIe siècle, on intègre la famille de notables amstellodamois, les Brandt.
Une famille abritant bon nombre de mystères qui vont se révéler progressivement, autour d'une étrange maison de poupée.
Dans cette atmosphère feutrée mais aussi oppressante qui n'est pas sans rappeler Rebecca ou La jeune fille à la perle, Jessie Burton a réussi à me tenir en haleine. Les thématiques, les personnages m'ont surpris. J'ai également beaucoup aimé la construction du roman. Mais je regrette la fin un peu frustrante.
@L-unita ohhh deja merci d'avoir suivi mes conseils !
Pour Traditions d'Olympe, j'ai envie de dire, attends un peu
Pour Traditions d'Olympe, j'ai envie de dire, attends un peu
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J'ai fini le manga en 4 tomes, Chiisakobé de Minetaro Mochizuki. Un jeune homme, Shigeji, hérite de la société artisanale de son père à la mort de ses parents dans un incendie. Par un concours de circonstances, il héberge une jeune femme, Ritsu, et des orphelins turbulents. Entre relancer l'entreprise familiale et gérer cette petite troupe, Shigeji devient adulte.
C'est un manga "slice of life"., un genre que je lis peu. Mes mangas/manwhas de prédilections sont principalement des seinen (MPD psycho, Gunnm, Priest, Chonchu, et tout ce que fait Tsutomu Nihei ). J'en ressors très mitigée. Le scénario est prometteur. Mais les personnages bien qu'intéressants ne sont pas assez approfondis. Surtout il y a un manque regrettable d'émotions, je me suis sentie peu investie. Le point fort, ce sont les dessins. Le graphisme est léché, les angles de vues "cinématographiques". Ça pour le coup j'ai adoré.
C'est un manga "slice of life"., un genre que je lis peu. Mes mangas/manwhas de prédilections sont principalement des seinen (MPD psycho, Gunnm, Priest, Chonchu, et tout ce que fait Tsutomu Nihei ). J'en ressors très mitigée. Le scénario est prometteur. Mais les personnages bien qu'intéressants ne sont pas assez approfondis. Surtout il y a un manque regrettable d'émotions, je me suis sentie peu investie. Le point fort, ce sont les dessins. Le graphisme est léché, les angles de vues "cinématographiques". Ça pour le coup j'ai adoré.
Je suis en train de lire Chez soi de Mona Chollet, j'en suis qu'au début mais j'aime bien. Il y a tout un passage sur les casaniers, je me suis sentie comprise, .
J'ai aussi commencé On ne nait pas soumise, on le devient de Manon Garcia où elle aborde le thème de la soumission du point de vue des dominées (en l'occurence, les femmes). C'est un peu dur à lire mais très intéressant !
Je me rends compte que je lis beaucoup d'essais mais pas énormément de romans, je serais pas contre quelques recommandations !
.J'ai aussi commencé On ne nait pas soumise, on le devient de Manon Garcia où elle aborde le thème de la soumission du point de vue des dominées (en l'occurence, les femmes). C'est un peu dur à lire mais très intéressant !
Je me rends compte que je lis beaucoup d'essais mais pas énormément de romans, je serais pas contre quelques recommandations !
j'ai fini récemment the eye of the labyrinth, deuxième tome de the second sons trilogy de jennifer fallon. ca reste toujours aussi bon.
je suis en train de lire actuellement sacred economics, de charles eisenstein. c'est une lecture malheureusement déiste de comment il faudrait retourner notre économie pour sortir du capitalisme, de la croissance à tout prix et des catastrophes écologiques et sociales dans lesquelles nous sommes. à part pour sa propension à introduire du sacré partout, c'est plutôt intéressant.
j'ai commencé la cour des miracles de victor dixen. encore de la fantasy à tendance ya cette fois. ca reste assez prenant, mais l'installation étant faite, c'est moins palpitant que le premier tome.
je suis en train de lire actuellement sacred economics, de charles eisenstein. c'est une lecture malheureusement déiste de comment il faudrait retourner notre économie pour sortir du capitalisme, de la croissance à tout prix et des catastrophes écologiques et sociales dans lesquelles nous sommes. à part pour sa propension à introduire du sacré partout, c'est plutôt intéressant.
j'ai commencé la cour des miracles de victor dixen. encore de la fantasy à tendance ya cette fois. ca reste assez prenant, mais l'installation étant faite, c'est moins palpitant que le premier tome.
J'ai fini La promesse de l'aube de Romain Gary.
C'est un livre impressionnant, se dire que le personnage de la mère de l'auteur a vraiment existé c'est assez vertigineux je trouve. La relation entre la mère et son fils est vraiment particulière, j'avais beau connaître l'histoire dans les grandes lignes je ne m'y attendais pas!
J'ai aimé le style de l'auteur en tout cas, mes parents doivent avoir Les racines du ciel dans un coin faudra que je le chipe.
J'ai commencé Come fly the world : the women of Pan Am at war and peace de Julia Cooke.
Ce livre regroupe des témoignage de femmes ayant travaillé à la Pan Am (Pan American Airways) après la Seconde Guerre Mondiale lors de l'âge d'or de cette compagnie. Elles racontent leur vies d'hôtesse de l'air et ce que ça voulait dire dans l'Amérique des années 60 d'être une femme célibataire financièrement indépendante qui travaille dans tous les coins de la planète à une époque où ce genre de voyage était encore rare.
Mais là où le livre a une particularité c'est qu'il se concentre sur la Pan Am, cette compagnie mythique et prestigieuse qui ne travaillait qu'à l'international (pas de vols intérieurs aux USA) disparue dans les années 90. La Pan Am a été impliqué dans de nombreuses affaires militaires (transports de troupes au Vietnam, évacuation à la fin de la même guerre) et diplomatique.
Bref un livre loin des clichés sur l'hôtesse potiche.
J'ai aussi commencé Etés anglais, tome 1 de la série des Cazalet de Elizabeth Jane Howard.
On suit une famille anglaise bourgeoise de 1937 à l'après-guerre et tous les bouleversements de cette époque. j'ai lu que 50 pages du tome 1 (sur 5 il me semble) donc c'est un peu tôt pour me prononcer mais je peux déjà annoncer qu'entre les 3 générations de la famille plus les domestiques ça fait beaucoup de personnages!!
C'est un livre impressionnant, se dire que le personnage de la mère de l'auteur a vraiment existé c'est assez vertigineux je trouve. La relation entre la mère et son fils est vraiment particulière, j'avais beau connaître l'histoire dans les grandes lignes je ne m'y attendais pas!
J'ai aimé le style de l'auteur en tout cas, mes parents doivent avoir Les racines du ciel dans un coin faudra que je le chipe.
J'ai commencé Come fly the world : the women of Pan Am at war and peace de Julia Cooke.
Ce livre regroupe des témoignage de femmes ayant travaillé à la Pan Am (Pan American Airways) après la Seconde Guerre Mondiale lors de l'âge d'or de cette compagnie. Elles racontent leur vies d'hôtesse de l'air et ce que ça voulait dire dans l'Amérique des années 60 d'être une femme célibataire financièrement indépendante qui travaille dans tous les coins de la planète à une époque où ce genre de voyage était encore rare.
Mais là où le livre a une particularité c'est qu'il se concentre sur la Pan Am, cette compagnie mythique et prestigieuse qui ne travaillait qu'à l'international (pas de vols intérieurs aux USA) disparue dans les années 90. La Pan Am a été impliqué dans de nombreuses affaires militaires (transports de troupes au Vietnam, évacuation à la fin de la même guerre) et diplomatique.
Bref un livre loin des clichés sur l'hôtesse potiche.
J'ai aussi commencé Etés anglais, tome 1 de la série des Cazalet de Elizabeth Jane Howard.
On suit une famille anglaise bourgeoise de 1937 à l'après-guerre et tous les bouleversements de cette époque. j'ai lu que 50 pages du tome 1 (sur 5 il me semble) donc c'est un peu tôt pour me prononcer mais je peux déjà annoncer qu'entre les 3 générations de la famille plus les domestiques ça fait beaucoup de personnages!!
J'ai quasiment fini "Dans la forêt" de Jean Egland, c'est vraiment une lecture très prenante. Ce livre me fait me poser beaucoup de questions sur le monde dans lequel on vit, le rapport à la nature et à l'autre etc .. Vraiment je ne peux que conseiller fortement !
(Attention car plusieurs TW, donc pas ok pour tou.tes.s)
(Attention car plusieurs TW, donc pas ok pour tou.tes.s)
Voici ma critique de La fileuse d'argent de Naomi Novik !
Alors que c'était avec un enthousiasme mitigé que j’avais démarré La fileuse d’argent, c’est avec un ravissement non dissimulé que je viens tout juste d'en terminer la lecture. Bien qu’ayant, en effet, précédemment apprécié Déracinée (de la même autrice), j’avais été tout de même gênée dans ce roman par quelques facilités scénaristiques ainsi que certains clichés dont je me serais bien passée et que je craignais donc de retrouver dans ce nouvel ouvrage, mais il n’en fut rien.
La fileuse d’argent est un véritable conte d’hiver mettant en scène de remarquables personnages féminins qui, malgré leur condition peu enviable de femmes dans le monde impitoyable de l’hiver, mais aussi, et surtout, celui du patriarcat, sauront habilement user du peu de ressources dont elles disposent pour faire entendre leur voix, s’imposer et devenir de grandes héroïnes à bien des niveaux.
Vous l’aurez compris, ce roman initiatique à la fois féministe et fantasy m'a pleinement conquise et c’est avec un plaisir presqu'inédit que je me suis laissée envoûter par la beauté glacée et la magie de cet univers slave dans lequel les destins de nos héroïnes se croisent et s’emmêlent pour tisser entre elles une sororité qu’on aimerait pouvoir apprécier plus souvent dans notre environnement culturel. Bien que les différents points de vue des personnages s’enchaînent et se mélangent, le récit reste toujours fluide et compréhensible pour ses lectrices et lecteurs, qui pourront alors se laisser bercer par la prose légère et chargée d'humanité de Naomi Novik et peut-être même nourrir l'espoir aujourd'hui très émacié de pouvoir connaître un jour un monde meilleur.
Alors que c'était avec un enthousiasme mitigé que j’avais démarré La fileuse d’argent, c’est avec un ravissement non dissimulé que je viens tout juste d'en terminer la lecture. Bien qu’ayant, en effet, précédemment apprécié Déracinée (de la même autrice), j’avais été tout de même gênée dans ce roman par quelques facilités scénaristiques ainsi que certains clichés dont je me serais bien passée et que je craignais donc de retrouver dans ce nouvel ouvrage, mais il n’en fut rien.
La fileuse d’argent est un véritable conte d’hiver mettant en scène de remarquables personnages féminins qui, malgré leur condition peu enviable de femmes dans le monde impitoyable de l’hiver, mais aussi, et surtout, celui du patriarcat, sauront habilement user du peu de ressources dont elles disposent pour faire entendre leur voix, s’imposer et devenir de grandes héroïnes à bien des niveaux.
Vous l’aurez compris, ce roman initiatique à la fois féministe et fantasy m'a pleinement conquise et c’est avec un plaisir presqu'inédit que je me suis laissée envoûter par la beauté glacée et la magie de cet univers slave dans lequel les destins de nos héroïnes se croisent et s’emmêlent pour tisser entre elles une sororité qu’on aimerait pouvoir apprécier plus souvent dans notre environnement culturel. Bien que les différents points de vue des personnages s’enchaînent et se mélangent, le récit reste toujours fluide et compréhensible pour ses lectrices et lecteurs, qui pourront alors se laisser bercer par la prose légère et chargée d'humanité de Naomi Novik et peut-être même nourrir l'espoir aujourd'hui très émacié de pouvoir connaître un jour un monde meilleur.
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