@Elly5 @Alegria. Courage à vous
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Ça vous paraît insurmontable là maintenant tout de suite car vous appréhendez et vous vous imaginez sûrement des trucs de fou sur le niveau, l'intensité des cours, les profs, les autres élèves et leurs niveaux... mais une fois les cours commencés, vous vous rendrez peut-être compte que c'est pas aussi difficile que ce que vous pensiez ? (moi c'est ce que je fais tout le temps (merci cerveau
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) et une fois devant le boulot en question, je me dis "ah c'est ça ? bon ça va, ça paraît pas inaccessible non plus". Et même si je galère parfois pour le faire, ben je galère quand même moins que ce que mon cerveau avait imaginé
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) (#teamgrosseangoisée)
Je vous dis ça parce que je flippais aussi à mon entrée à la fac. L'anglais c'était ma LV2 au collège et au lycée et, si je me souviens plus vraiment de mes cours d'anglais à cette époque, je sais que j'avais pas un niveau de fifou (genre, pas du tout). Je me débrouillais à l'écrit (mais beaucoup moins que maintenant) et l'oral, je vous en parle même pas
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Je me faisais tout un monde de l'anglais à la fac car pour moi, les cours seraient dans la continuité de ce qu'on était déjà censé maîtriser au lycée donc je flippais de ne pas suivre le rythme et en fait... non. Pour vous dire, en L2, on revoyait le present perfect et les différentes formes du passé
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Il n'y a qu'en L3 qu'on a eu des cours un peu plus spécifiques et encore, rien de très poussés : le monde du business avec du vocabulaire type "entreprise, être embauché, acheter, vendre, etc" au semestre 5 et le monde du travail au semestre 6 où on a bossé sur les CV et lettres de motivation (avec donc tout le vocabulaire qu'on peut y retrouver : les diplômes, les compétences, qualités, formules de politesse...).
Alors le niveau dépend sûrement de chaque fac, et même de chaque licence au sein d'une même fac (nous la langue n'était pas vraiment favorisée, c'était 2h par semaine pour un coef de 3 ou 2 selon les semestres, donc rien du tout), mais je vous envoie tout plein de bonnes ondes pour que vous puissiez gérer ça comme des chefs
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Ah et je compatis à 10 000% pour le passage fatidique à l'oral, j'ai toujours été une grosse quiche à l'oral alors que je m'en sors à l'écrit et à la lecture. J'ai une prononciation nulle donc je stresse ++ à l'idée de m'exprimer (j'ai peur qu'on me fasse répéter car on a pas compris le mot avec la situation tant redoutée = répéter le mot x fois et la personne qui ne le comprend toujours pas
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). Pour pallier à ça, avant chaque oral prévu, je me répète mon texte à voix haute et lentement et j'écoute beaucoup Google translate quand j'ai un doute sur la prononciation d'un mot.