@Solemnia J'aime pas les santés
. Honnêtement, de mon point de vue c'est un master "poubelle". Déjà, avant qu'on sépare le master clipatho en 2, ça ressemblait vachement au master "poubelle" parce qu'en gros, tous ceux qui visaient clipatho mettaient en second choix le master santé, donc je pense que certains finissaient là alors que c'était pas ce qu'ils voulaient à la base. Et ça se ressent énormément qu'en on est en cours avec eux, le niveau de la majorité des gens en santé est bien plus bas que celui de notre master. Tu les entends parler, ça suit pas le cours, ça sèche à mort, et nous on l'a vu dans mon TER, la prof a dit que clairement les 4 qui venaient de santé avaient produit un travail bien plus pauvre que nous et certains n'ont pas eu la moyenne...
Bref, donc en soit, ça m'a pas l'air d'être un master difficile à avoir, surtout si tu fais un stage en lien avec ton projet professionnel et en lien avec le master santé (ce qui est le cas).
Sinon, je pense que c'est pas lié au master en lui-même, ça reste Descartes, ils offrent des bons enseignements. On a des cours en commun, et je peux te dire qu'on a des bons profs (sauf pour les stats...). C'est plus les élèves, tu sens que certains sont là par dépits plus que par vocation, et je trouve ça triste.
Par contre, si t'arrives à mettre la main sur leur ronéo, ça, ça m'intéresse.
Sinon la licence est ce qu'elle est. Elle est bien parce qu'elle est générale, parce qu'on voit tout. Par contre, disons que lorsque tu rentres en master clinique, tu sens une grande différence dans les cours. C'est vraiment axé clinique et tu apprends tous ses aspects là que tu n'as pas vu en licence, ça te donne une autre approche. Après, je suis en intégratif, donc on a une approche très particulière, on voit tellement de façons de pratiquer, moi je trouve ça juste énorme en fait. On est vraiment centré sur le patient, c'est hyper intéressant.
Après, santé a des spécificités que je ne connais pas, mais ça reste un master pro type clinique, et tu vas aussi sentir la différence je pense. Ca devient beaucoup plus concret, tu réfléchis beaucoup plus à la relation à l'autre.