Je m'ennuyais un peu au boulot et je faisais un truc hyper répétitif la semaine dernière donc j'ai commencé à regarder des documentaires en fond sur le pays de Dan (car l'histoire et la culture du pays me passionnent). Puis tout à coup, j'ai réalisé qu'un des mecs qui parlait dans l'interview, c'était SON PERE!!! J'ai eu envie de lui envoyer le lien vers la vidéo par message en disant "noooon c'était ton père???" puis je me suis dit "euh par contre, comment je suis censée savoir que c'est son père mdr ". Parce que je sais que c'est son père majoritairement car je l'ai intensivement stalké sur les réseaux sociaux il y a 10 ans ET parce que je regardais régulièrement sa page Facebook il y a quelques années et que son ex avait posté des photos d'elle avec Dan et son père.
A la base, je sais surtout que c'est son père parce que
Sinon, mon proprio est super chiant, ma coloc se barre et on n'a aucune nouvelle du proprio, donc on ne sait pas si on peut lui proposer de nouvelles personnes ou pas. J'avoue que ça me gave un peu, d'autant que la vie dans la maison est tout à fait correcte, mais c'est quand même un équilibre assez artistique et j'ai pas envie de voir tout basculer parce qu'une personne choisie au hasard par le proprio débarque à côté de ma chambre.
A part ça, au boulot je m'entends bien avec les gens, j'ai l'espoir de me faire de nouveaux amis prochainement si le Covid ne revient pas en force. Mais je me sens un peu débordée, j'arrive pas à organiser ma vie personnelle et à me bouger pour faire des activités intéressantes. Je sais que c'est parce que j'ai cumulé fac, boulot et freelance, et que du coup, j'ai dû renoncer au reste car j'avais pas le temps, mais maintenant que je suis en vacances universitaire et que j'ai plus d'activité freelance, je me sens toujours débordée. J'ai même l'impression de devoir m'écrire un planning pour décider quel jour je vais aller au cinéma car j'arrive pas à y aller autrement (alors que je fais rien de spécial chez moi à part regarder la télé avec ma jeune coloc et aller sur Internet). Je n'ai pas encore remis les pieds au sport que j'ai abandonné depuis 6 mois et je sais que j'ai pris des kilos donc en plus je vois bien que ça me crée un mode de vie pas très sain.
En fait, je suis pas complètement libérée mentalement de mes activités : je suis censée réfléchir au mémoire que j'écrirai l'an prochain, je suis censée travailler certaines compétences que j'ai mal apprises à la fac cette année et qui serait utiles pour le boulot, etc., et même si je ne le fais pas du tout, j'ai l'impression d'être dans cet état où j'ai l'impression de constamment à avoir un truc que je suis censée faire et donc je me sens surbookée même quand je ne fais rien.
Du coup, évidemment que je n'ai absolument pas le temps de développer ma vie sentimentale. Heureusement, j'ai quelques collègues françaises au boulot qui m'ont invitée plusieurs fois à prendre un verre ces dernières semaines et on s'est très bien entendues. Je n'aurais fait aucun effort pour rencontrer des gens si elles ne m'avaient pas invitée et je dois dire que ça m'a fait du bien car ça m'a un peu donné envie de me bouger plus pour me faire des amis.
Je ne sais pas si c'est les deux ans de Covid ou mon surbooking ou le fait que je maintiens une vie sociale minimale en permanence grâce à mes colocs mais normalement, quand je ne fais pas de sortie avec des amis pendant un moment, je ressens vraiment le besoin impérieux d'aller vers les gens et de faire des rencontres amicales, mais là, ce besoin semble bien enfoui au fond de moi alors que je suis certaine que je serais bien plus épanouie avec des amis en dehors de ma coloc.
Oui parce que bon, je veux toujours fonder une famille donc je me dis toujours qu'il faudrait que j'essaye de trouver quelqu'un qui me plait (parce que vraiment, idéalement je voudrais être en couple pour avoir cette famille), mais j'ai tellement la flemme que je suis en plus en plus en mode "boarf mais qui a besoin d'un mec après tout, la PMA ça existe pour ça et puis je trouverai des gens pour m'aider, j'ai pas plein d'amis proches et de cousins pour rien hein". Je me conditionne à trouver cette idée tout à fait banale en regardant tous les films et les séries sur des parents qui adoptent au lieu d'avoir des gosses biologiques ou les parents célibataires Alors que je sais que c'est VRAIMENT la flemme de chercher un mec qui me fait raisonner comme ça
J'ai des petits sauts de sentiment de retour de ma sexualité par moments, mais la plupart du temps, je sens très asexuée. J'habite pas dans une grande ville en plus et à la base je suis pas dans le pays le plus fashion du monde, mon boulot est hyper cool sur le code vestimentaire, donc après 1 ans et demi sans vie sociale et des mois de confinement, je suis vraiment en mode zéro contrôle de mon image et de tentative de séduction de qui que ce soit, ce qui n'aide pas à avoir l'impression que je suis pas asexuée Dans mon ancien job en France (quand je bossais avec Romain), je m'habillais méga bien pour aller au boulot, c'était pas pour rien qu'il partait dans ses fantasmes sur la secrétaire sexy. Maintenant, je débarque au boulot en leggings et T-shirt Mickey (littéralement) et bien sûr no make up.
Mais comme j'ai vraiment l'impression de faire n'importe quoi dans l'organisation de mon temps, je trouve pas non plus ça hyper sain. En plus, je sais vu mes expériences de vie que je vis vraiment très bien le célibat et l'absence de sexualité (ça m'a toujours légèrement agacée d'entendre les gens trouver vraiment terrible de ne pas avoir eu de relations sexuelles depuis 3 mois alors que moi je laisse facilement passer des années et je suis vraiment persuadée que ça n'a rien d'exceptionnel), mais en même temps chaque fois que j'ai eu l'occasion de pécho des gars qui me plaisaient vraiment, je trouvais le sexe génial et je me disais que je passe à côté d'un aspect de moi-même en ne le pratiquant pas plus souvent. Donc je suppose que je passe à côté d'un aspect de moi encore maintenant, mais j'ai l'impression de n'avoir pas de place pour ça dans ma vie en ce moment.
Et du coup comme j'arrive pas à m'organiser pour faire autre chose que bosser, j'ai toujours pas pris contact avec une psy, après la tentative que j'avais faite il y a des mois et où les psys m'avaient dit qu'elles ne prenaient plus de patients et m'avaient adressé vers d'autres consoeurs que j'ai pas eu le courage et le temps de contacter. Là, ma collègue m'a filé le nom de sa psy mais il me semble avoir lu que c'est pas génial de voir la même psy que sa collègue?
Enfin voilà des trucs toujours aussi en vrac quoi
Et donnez des news celles qui n'ont pas participé depuis longtemps!!
A la base, je sais surtout que c'est son père parce que
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Sinon, mon proprio est super chiant, ma coloc se barre et on n'a aucune nouvelle du proprio, donc on ne sait pas si on peut lui proposer de nouvelles personnes ou pas. J'avoue que ça me gave un peu, d'autant que la vie dans la maison est tout à fait correcte, mais c'est quand même un équilibre assez artistique et j'ai pas envie de voir tout basculer parce qu'une personne choisie au hasard par le proprio débarque à côté de ma chambre.
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A part ça, au boulot je m'entends bien avec les gens, j'ai l'espoir de me faire de nouveaux amis prochainement si le Covid ne revient pas en force. Mais je me sens un peu débordée, j'arrive pas à organiser ma vie personnelle et à me bouger pour faire des activités intéressantes. Je sais que c'est parce que j'ai cumulé fac, boulot et freelance, et que du coup, j'ai dû renoncer au reste car j'avais pas le temps, mais maintenant que je suis en vacances universitaire et que j'ai plus d'activité freelance, je me sens toujours débordée. J'ai même l'impression de devoir m'écrire un planning pour décider quel jour je vais aller au cinéma car j'arrive pas à y aller autrement (alors que je fais rien de spécial chez moi à part regarder la télé avec ma jeune coloc et aller sur Internet). Je n'ai pas encore remis les pieds au sport que j'ai abandonné depuis 6 mois et je sais que j'ai pris des kilos donc en plus je vois bien que ça me crée un mode de vie pas très sain.
En fait, je suis pas complètement libérée mentalement de mes activités : je suis censée réfléchir au mémoire que j'écrirai l'an prochain, je suis censée travailler certaines compétences que j'ai mal apprises à la fac cette année et qui serait utiles pour le boulot, etc., et même si je ne le fais pas du tout, j'ai l'impression d'être dans cet état où j'ai l'impression de constamment à avoir un truc que je suis censée faire et donc je me sens surbookée même quand je ne fais rien.
Du coup, évidemment que je n'ai absolument pas le temps de développer ma vie sentimentale. Heureusement, j'ai quelques collègues françaises au boulot qui m'ont invitée plusieurs fois à prendre un verre ces dernières semaines et on s'est très bien entendues. Je n'aurais fait aucun effort pour rencontrer des gens si elles ne m'avaient pas invitée et je dois dire que ça m'a fait du bien car ça m'a un peu donné envie de me bouger plus pour me faire des amis.
Je ne sais pas si c'est les deux ans de Covid ou mon surbooking ou le fait que je maintiens une vie sociale minimale en permanence grâce à mes colocs mais normalement, quand je ne fais pas de sortie avec des amis pendant un moment, je ressens vraiment le besoin impérieux d'aller vers les gens et de faire des rencontres amicales, mais là, ce besoin semble bien enfoui au fond de moi alors que je suis certaine que je serais bien plus épanouie avec des amis en dehors de ma coloc.
Oui parce que bon, je veux toujours fonder une famille donc je me dis toujours qu'il faudrait que j'essaye de trouver quelqu'un qui me plait (parce que vraiment, idéalement je voudrais être en couple pour avoir cette famille), mais j'ai tellement la flemme que je suis en plus en plus en mode "boarf mais qui a besoin d'un mec après tout, la PMA ça existe pour ça et puis je trouverai des gens pour m'aider, j'ai pas plein d'amis proches et de cousins pour rien hein". Je me conditionne à trouver cette idée tout à fait banale en regardant tous les films et les séries sur des parents qui adoptent au lieu d'avoir des gosses biologiques ou les parents célibataires Alors que je sais que c'est VRAIMENT la flemme de chercher un mec qui me fait raisonner comme ça
J'ai des petits sauts de sentiment de retour de ma sexualité par moments, mais la plupart du temps, je sens très asexuée. J'habite pas dans une grande ville en plus et à la base je suis pas dans le pays le plus fashion du monde, mon boulot est hyper cool sur le code vestimentaire, donc après 1 ans et demi sans vie sociale et des mois de confinement, je suis vraiment en mode zéro contrôle de mon image et de tentative de séduction de qui que ce soit, ce qui n'aide pas à avoir l'impression que je suis pas asexuée Dans mon ancien job en France (quand je bossais avec Romain), je m'habillais méga bien pour aller au boulot, c'était pas pour rien qu'il partait dans ses fantasmes sur la secrétaire sexy. Maintenant, je débarque au boulot en leggings et T-shirt Mickey (littéralement) et bien sûr no make up.
Mais comme j'ai vraiment l'impression de faire n'importe quoi dans l'organisation de mon temps, je trouve pas non plus ça hyper sain. En plus, je sais vu mes expériences de vie que je vis vraiment très bien le célibat et l'absence de sexualité (ça m'a toujours légèrement agacée d'entendre les gens trouver vraiment terrible de ne pas avoir eu de relations sexuelles depuis 3 mois alors que moi je laisse facilement passer des années et je suis vraiment persuadée que ça n'a rien d'exceptionnel), mais en même temps chaque fois que j'ai eu l'occasion de pécho des gars qui me plaisaient vraiment, je trouvais le sexe génial et je me disais que je passe à côté d'un aspect de moi-même en ne le pratiquant pas plus souvent. Donc je suppose que je passe à côté d'un aspect de moi encore maintenant, mais j'ai l'impression de n'avoir pas de place pour ça dans ma vie en ce moment.
Et du coup comme j'arrive pas à m'organiser pour faire autre chose que bosser, j'ai toujours pas pris contact avec une psy, après la tentative que j'avais faite il y a des mois et où les psys m'avaient dit qu'elles ne prenaient plus de patients et m'avaient adressé vers d'autres consoeurs que j'ai pas eu le courage et le temps de contacter. Là, ma collègue m'a filé le nom de sa psy mais il me semble avoir lu que c'est pas génial de voir la même psy que sa collègue?
Enfin voilà des trucs toujours aussi en vrac quoi
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