Bonjour par ici !
Ça fait 10 jours que je suis de retour en clinique psy et mon psychiatre qui me suit depuis un moment est en vacances. Et même si sa remplaçante est vraiment bienveillante et tout, j'ai hâte qu'il revienne pour programmer un week-end puis une sortie définitive.
En dehors de ça, je rêve toutes les nuits - et ce depuis plusieurs semaines - que je fais du sport (gymnastique rythmique que j'ai pratiquée pendant 11 ans, volley pendant 6 ans et roller derby pendant 1 an). Si, l'été de mes 16 ans, j'avais regardé où j'allais en vélo plutôt que de discuter avec la personne derrière moi, je n'en serai pas là et je serai encore en train de faire du volley. C'est la grosse frustration du moment. Du coup, j'ai presque hâte de commencer la rééducation à l'effort (3 fois par semaine pendant 3 mois) et dès que la saison estivale sera terminée, je retourne à la piscine. Peut-être qu'avec moins de monde le complexes sort moins forts.
Sinon, de 17h à 18h, c'est stretching. Ce matin j'aimerais bien finir de ficher le chapitre 4 de civilisation anglophone. Cet après-midi, ficher les chapitres 1 et 2 en langue russe. Et ce soir m'attaquer à la phonétique russe. En parlant de cours, j'hésite à reprendre les cours en présentiel mais j'ai peur que ce soit trop tôt, de ne pas être assez stable pour le moment. De la même façon que j'avais envie de faire un service civique.
Niveau nourriture, c'est compliqué. J'ai du mal à me restreindre et les légumes ne sont pas hyper bons parce que tous cuits à la vapeur. Et je limite les féculents. Alors forcément, l'après-midi j'ai faim et je vais me chercher un truc à grignoter au distributeur. Dès que je sors, je retourne en restriction alimentaire. J'ai besoin de perdre du poids pour me sentir bien, je le sens. J'ai l'impression que c'est l'un des facteurs qui joue de ouf sur mon humeur (même si c'est loin d'être le seul - et d'ailleurs, c'est souvent qu'il n'y a pas de facteur déclenchants).