@DarkVador-au-sauna Pour la forme de l'eau sur "pourquoi les femmes de ménage ont accès? et pourquoi le méchant est-il si méchant?", c'est pour moi, une formidable critique du sexisme. Le méchant n'est pas juste un méchant, c'est juste un putain de mec blanc, hétéro, sexiste, raciste etc qui est dans son bon droit (vis à vis de la société) pour asseoir son pouvoir et qui n'a zéro empathie, tout est basé sur sa carrière, sa réussite. Ces hommes tellement sur d'eux, de leur puissance et de la supériorité de l'homme sur la femme (ces nunuches qui ne sont bonnes qu'à aller chez le coiffeur et lire des magazines people), qu'ils ne les considèrent pas. Ca ne leur viendront même pas à l'idée qu'une femme (de ménage qui plus est) puisse réfléchir, penser. En plus si ce ne sont pas des femmes civiles qui nettoient, ça devrait être des militaires, donc des hommes, et ça, ce n'est pas possible!
Ca choque peut-être plus parce que le méchant est habillé civilement, mais ce personnage existait déjà dans Le labyrinthe de Pan avec le militaire, et franchement vu la guerre d'Espagne ou la seconde guerre mondiale, je pense vraiment que ce genre d'hommes ont existé. Et les gentilles qui sont vraiment gentilles, c'étaient les résistantes du Labyrinthe de Pan, les justes, celleux qui font ce qui doit être fait (qui ont tout autant existé).
On peut reprocher à Del Toro, par contre, de ne pas beaucoup se renouveler dans sa critique du sexisme, mais quand on replace ces histoires dans leur époque où les femmes n'avaient pas beaucoup de droit, ça a du sens. J'attends un Del Toro se passant en 2015-2020 maintenant, parce que ce genre de scénario ça sera moins crédible à notre époque.
Et pour The disaster artist c'est exactement ça: Si t'es multimillionnaire, tu fais bien ce que tu veux! ^^
Sinon conseil pour celleux qui veulent y aller: j'ai été voir ce film après avoir écouté le 2hdp de The Room, et c'était pas plus mal parce que j'avais d'autres anecdotes qui n'étaient pas mentionnées dans le film et une idée (assez vague vu la qualité du scénar) du pitch de ce film (parce que juste avec The disaster artict, on ne comprend rien à The Room, c'est logique vu que ce n'est pas le propos, mais ça enlève un truc de ridicule en plus)
Ca choque peut-être plus parce que le méchant est habillé civilement, mais ce personnage existait déjà dans Le labyrinthe de Pan avec le militaire, et franchement vu la guerre d'Espagne ou la seconde guerre mondiale, je pense vraiment que ce genre d'hommes ont existé. Et les gentilles qui sont vraiment gentilles, c'étaient les résistantes du Labyrinthe de Pan, les justes, celleux qui font ce qui doit être fait (qui ont tout autant existé).
On peut reprocher à Del Toro, par contre, de ne pas beaucoup se renouveler dans sa critique du sexisme, mais quand on replace ces histoires dans leur époque où les femmes n'avaient pas beaucoup de droit, ça a du sens. J'attends un Del Toro se passant en 2015-2020 maintenant, parce que ce genre de scénario ça sera moins crédible à notre époque.
Et pour The disaster artist c'est exactement ça: Si t'es multimillionnaire, tu fais bien ce que tu veux! ^^
Sinon conseil pour celleux qui veulent y aller: j'ai été voir ce film après avoir écouté le 2hdp de The Room, et c'était pas plus mal parce que j'avais d'autres anecdotes qui n'étaient pas mentionnées dans le film et une idée (assez vague vu la qualité du scénar) du pitch de ce film (parce que juste avec The disaster artict, on ne comprend rien à The Room, c'est logique vu que ce n'est pas le propos, mais ça enlève un truc de ridicule en plus)
Dernière édition :
Pas les même registres mais je les ai beaucoup apprécié tous les deux ! RPO est bien mené et je suis quand même bien heureuse de ne pas avoir tenter la 3D quand on voit tous les mouvements et tout x) Ghostland m'a suprise dans son scénario ! Je me suis fait bernée trop de fois 
Je vais me refaire Much Loved pour essayer d'oublier ça.
