Je suis arrivée dérangée comme beaucoup par l'article (les même arguments abordés plus d'une centaine de fois, article avec un ton non-professionnel, attitude déplacée d'annoncer aussi brutalement et publiquement que ça un licenciement, maladresse dans la manière de présenter Mymy qui l'affiche comme une personne aux dents un peu longues...)
... Et j'en repars encore plus interloquée (comme souvent) par les réponses de l'équipe. Comme souvent (toujours ?) quand il y a une majorité de critiques négatives (mais construites), zéro dialogue et ça donne l'impression de sérieusement ne pas être écouté.e.s. Je crois n'avoir jamais lu des réponses de type ''vous avez peut-être raison'', ''peut-être qu'on aurait pu faire autrement'', ''peut-être qu'on s'est mal exprimés''... Ce qu'on dit n'est pas toujours entendu de la manière qu'on voudrait, c'est pas grave tant qu'on s'ouvre au dialogue et qu'on ne tombe pas dans un échange de sourds.. Là (comme souvent malheureusement) on se heurte à un mur. C'est dommage.
(Et je pose ça là comme ça, contrairement à beaucoup, je n'étais pas forcément fan de Clémence. Pas vraiment en fait. Mais ça ne m'empêche pas d'être dérangée par le traitement qu'elle a reçu, que ce soit volontaire, ou que ça ne le soit pas et que ce soit juste une erreur de communication. Dans tous les cas, cette volonté manifeste de ne pas s'ouvrir au dialogue ne vous sert pas dans l'image que tout ça renvoie...)
EDIT : bah
@Mymy J'ai beau chercher mais... Je pense que tu parles du message #177 mais en fait, alors que tu commences comme ça, tu finis par absolument vouloir justifier les choses et ça brouille énormément le message.
ça ne sous-entend pas ''oui, ok, on s'est peut-être plantés, j'accepte d'entendre la critique'', ça renvoie du ''ouais mais en fait non vous avez tord de penser ce que vous pensez parce que.''
Je pense pas que ça soit malveillant ou volontaire, mais c'est accepter de se remettre en question (et ça je ne vais pas spéculer dessus) et surtout de le montrer sans se cacher.
En fait en vrai, même s'il n'y avait pas de remise en question (admettons) ne serait-ce qu'en terme d'image publique vous y perdez finalement