Ce qui m’embête avec votre réponse c'est que vous avez décidé d'afficher son licenciement (en appuyant sur le fait que c'est que ça n'allait plus entre vous, que ça s'est mal fini, que vous n'aviez plus d'autre choix ect), ce qui pourrait lui porter préjudice, lui faire se sentir mal, humiliée (peut être, ce n'est pas sur mais c'est un risque).
Et en vous le faisant remarquer, vous le justifiez en disant que c'est pour ne pas avoir de soucis par la suite si Clémence décide de dire qu'elle a été licenciée !
Comme si vous faisiez passer les risques que Clémence vive très mal cet article (pour toutes les raisons précédentes) derrière le risque que potentiellement on puisse être fâchées contre vous de nous avoir "caché" des choses. Alors que bon, ce n'est pas du tout la même échelle, ici on a donc juste l'impression que vous préférez vous "protéger" que de bien traiter vos (ex) employés.
Une solution toute simple aurait été de demander à Clémence ce qu'elle préférais, et de le suivre (ou si pas de réponse, de ne pas le dire au cas où). Au pire du cas, si au final elle n'avait pas suivit ce qu'elle vous avait dit (ou juste pas répondu), vous auriez pu dire que vous avez essayé de faire au mieux pour elle. Là ça fait un peu comme si vous lui laissiez même pas le bénéfice du doute et que vous préfériez vous blinder, quitte à la torpiller au passage.
D'autant plus que si au final elle avait annoncé que elle avait été licenciée, vous auriez facilement pu vous justifier en disant que vous ne souhaitiez pas afficher un licenciement en public et lui laisser le choix d'en parler ou nous. Et si vous teniez absolument à parler du fait que vous l'avez licenciée, ne pas appuyer sur à quel point ça s'est mal passé à la fin, ça donne un peu une impression que vous tournez Clémence sous un mauvais jour (ça aurait pu être une formulation bien plus vague).
Et en vous le faisant remarquer, vous le justifiez en disant que c'est pour ne pas avoir de soucis par la suite si Clémence décide de dire qu'elle a été licenciée !
Comme si vous faisiez passer les risques que Clémence vive très mal cet article (pour toutes les raisons précédentes) derrière le risque que potentiellement on puisse être fâchées contre vous de nous avoir "caché" des choses. Alors que bon, ce n'est pas du tout la même échelle, ici on a donc juste l'impression que vous préférez vous "protéger" que de bien traiter vos (ex) employés.
Une solution toute simple aurait été de demander à Clémence ce qu'elle préférais, et de le suivre (ou si pas de réponse, de ne pas le dire au cas où). Au pire du cas, si au final elle n'avait pas suivit ce qu'elle vous avait dit (ou juste pas répondu), vous auriez pu dire que vous avez essayé de faire au mieux pour elle. Là ça fait un peu comme si vous lui laissiez même pas le bénéfice du doute et que vous préfériez vous blinder, quitte à la torpiller au passage.
D'autant plus que si au final elle avait annoncé que elle avait été licenciée, vous auriez facilement pu vous justifier en disant que vous ne souhaitiez pas afficher un licenciement en public et lui laisser le choix d'en parler ou nous. Et si vous teniez absolument à parler du fait que vous l'avez licenciée, ne pas appuyer sur à quel point ça s'est mal passé à la fin, ça donne un peu une impression que vous tournez Clémence sous un mauvais jour (ça aurait pu être une formulation bien plus vague).
Dernière édition :
) et qui ont sans doute à la fois fait les frais de la mésentente Fab/Clémence depuis un an, ont dû subir une gestion de cette crise, qui si elle est à l'avenant de cet article, fait véritablement froid dans le dos et maintenant savent en connaissance de cause que des distensions professionnelles et/ou personnelles avec le boss peuvent mener non seulement à un licenciement, mais également à une mise au ban de façon publique 
Ne sois pas mal à l'aise pour moi, ça va merci !
