Coucou !
Je me permets d'apporter ma pierre à l'édifice car je suis aussi dans une relation à distance qui s'est concrétisée comme toi peu de temps avant le second confinement, avec la difficulté supplémentaire que nous ne visons pas dans la même région de France
Je dis "concrétisée" car nous nous connaissions depuis plus longtemps et avons commencé à entretenir une relation épistolaire - d'abord amicale, puis de plus en plus ambiguë - pendant le premier confinement, ce qui m'a d'ailleurs beaucoup aidée à tenir en cette période étrange ; c'était génial, nous nous sommes découvert plein de points communs et sommes devenus très complices, et nous gardons cela par messages au quotidien. Je compatis très fort pour le téléphone, pour nous c'était moi qui était allergique à cet appareil du Malin auparavant, mais avec lui c'est un bonheur J'espère pour toi que tu parviendras à le convaincre de changer d'avis pour cela car pour le coup, ça peut te faire beaucoup de bien de lui parler de vive voix, à défaut de sa présence physique.
Nous réussissons à nous voir une fois par mois, pendant au moins une semaine généralement, mais avec la situation sanitaire ça a géré beaucoup d'inconnues, donc ce ne fut pas simple :/
Je comprends tout à fait le manque que tu éprouves, en ce qui me concerne j'aime mon indépendance au quotidien, mais c'est vrai que sur le long terme, il me manque beaucoup... Mon idéal serait qu'on se voit plus souvent (genre toutes les 2-3 semaines). En fait, d'un côté il me manque beaucoup (la dernière fois qu'il est parti suite à un séjour chez moi, j'ai pleuré à chaudes larmes comme une collégienne), mais en même temps j'ai peur que la passion s'étiole dans la conjugalité du quotidien... En effet, même si les départs sont difficiles, les retrouvailles sont toujours très intenses.
Je suis très attachée à lui, je sais que nous nous manquons mutuellement et il n'est pas exclu que la relation prenne la direction d'une vie commune plus tard (pour la petite anecdote, nous sortons tous les deux chacun de notre côté d'une relation d'une décennie en couple sous le même toit, donc nous avons déjà connu cette configuration), mais j'appréhende de passer pour la copine "boulet/pot de colle" qui précipite les choses et que ça lui fasse peur... En fait, dans l'idéal j'aimerai qu'on habite dans la même ville ou au moins dans la même région, mais pas forcément dans le même logement, dans un premier temps ce serait le parfait compromis.
Bref, je pense que je partage une partie de tes interrogations, mais effectivement si tu souffres de la situation ce n'est pas simple
Petite question : tu n'es pas de nature solitaire en dehors du couple ? Est-ce le manque de ton copain ou simplement le faite de te retrouver seule qui te fait de la peine ? Ça pourrait peut être te permettre de savoir si le problème de solitude est "conjugal" ou plus général...
Je me permets d'apporter ma pierre à l'édifice car je suis aussi dans une relation à distance qui s'est concrétisée comme toi peu de temps avant le second confinement, avec la difficulté supplémentaire que nous ne visons pas dans la même région de France
Je dis "concrétisée" car nous nous connaissions depuis plus longtemps et avons commencé à entretenir une relation épistolaire - d'abord amicale, puis de plus en plus ambiguë - pendant le premier confinement, ce qui m'a d'ailleurs beaucoup aidée à tenir en cette période étrange ; c'était génial, nous nous sommes découvert plein de points communs et sommes devenus très complices, et nous gardons cela par messages au quotidien. Je compatis très fort pour le téléphone, pour nous c'était moi qui était allergique à cet appareil du Malin auparavant, mais avec lui c'est un bonheur J'espère pour toi que tu parviendras à le convaincre de changer d'avis pour cela car pour le coup, ça peut te faire beaucoup de bien de lui parler de vive voix, à défaut de sa présence physique.
Nous réussissons à nous voir une fois par mois, pendant au moins une semaine généralement, mais avec la situation sanitaire ça a géré beaucoup d'inconnues, donc ce ne fut pas simple :/
Je comprends tout à fait le manque que tu éprouves, en ce qui me concerne j'aime mon indépendance au quotidien, mais c'est vrai que sur le long terme, il me manque beaucoup... Mon idéal serait qu'on se voit plus souvent (genre toutes les 2-3 semaines). En fait, d'un côté il me manque beaucoup (la dernière fois qu'il est parti suite à un séjour chez moi, j'ai pleuré à chaudes larmes comme une collégienne), mais en même temps j'ai peur que la passion s'étiole dans la conjugalité du quotidien... En effet, même si les départs sont difficiles, les retrouvailles sont toujours très intenses.
Je suis très attachée à lui, je sais que nous nous manquons mutuellement et il n'est pas exclu que la relation prenne la direction d'une vie commune plus tard (pour la petite anecdote, nous sortons tous les deux chacun de notre côté d'une relation d'une décennie en couple sous le même toit, donc nous avons déjà connu cette configuration), mais j'appréhende de passer pour la copine "boulet/pot de colle" qui précipite les choses et que ça lui fasse peur... En fait, dans l'idéal j'aimerai qu'on habite dans la même ville ou au moins dans la même région, mais pas forcément dans le même logement, dans un premier temps ce serait le parfait compromis.
Bref, je pense que je partage une partie de tes interrogations, mais effectivement si tu souffres de la situation ce n'est pas simple
Petite question : tu n'es pas de nature solitaire en dehors du couple ? Est-ce le manque de ton copain ou simplement le faite de te retrouver seule qui te fait de la peine ? Ça pourrait peut être te permettre de savoir si le problème de solitude est "conjugal" ou plus général...