Je n'arrive pas à me dépêtrer de ce sentiment de culpabilité mêlé de je-ne-sais-quoi permanent. J'ai beau me dire que c'est bientôt la fin, l'après me fait tellement peur aussi.
J'ai l'impression de voir passer chaque minute qui passe au ralenti, comme si quelqu'un s'amusait à ralentir le temps au maximum pour bien que je me rende compte que c'est un supplice. Enfin, je le vis comme un supplice parce que des gens vivent des choses mille fois plus graves mais moi je n'arrive pas à me maintenir. Il n'y a que mon travail le week-end qui me sauve, un bête boulot sans qualification.
Toute la journée, en boucle, les mêmes questions me viennent :
Que faire de ma vie ? Quelque chose qui me plait. Mais quoi ? Qu'est ce qui me plait ?
Comment assumer mes positions vis à vis de mes proches ?
Comment leur expliquer le vide que je ressens ? Sachant que je n'arrive pas à communiquer mes sentiments.
Serais-je capable de rester forte quand nos relations vont se dégrader ? Je suis capable d'être forte, mais j'ai tellement peur de leur réaction.
Qu'est ce que je veux pour plus tard ? Une famille ? Des enfants ? Une maison ? Des voyages ? Beaucoup d'argent ? Une vie décalée ?
Est-ce qu'un jour je serai capable d'aimer quelqu'un sereinement ?
Comment continuer à vivre chez eux alors que je ne rêve que d'une chose : avoir mon indépendance une bonne fois pour toute ? Ce qui n'arrivera pas avant 6 mois.
Voilà, et tout ça en boucle.
En fait, j'écris surtout ça pour laisser une trace. Parce que je sais qu'il n'y a que le temps libre qui va m'aider à répondre à tout ça, tout comme le fait de ne plus travailler ici. Et que demain soir, mon chef est en vacances donc qu'après ça va être PEPERE. Mais j'aimerais tellement être en janvier, avoir du temps pour moi, pour réfléchir tranquillement.
Promis après, j'arrêterais d'écrire mais là j'en ai trop besoin .
J'ai l'impression de voir passer chaque minute qui passe au ralenti, comme si quelqu'un s'amusait à ralentir le temps au maximum pour bien que je me rende compte que c'est un supplice. Enfin, je le vis comme un supplice parce que des gens vivent des choses mille fois plus graves mais moi je n'arrive pas à me maintenir. Il n'y a que mon travail le week-end qui me sauve, un bête boulot sans qualification.
Toute la journée, en boucle, les mêmes questions me viennent :
Que faire de ma vie ? Quelque chose qui me plait. Mais quoi ? Qu'est ce qui me plait ?
Comment assumer mes positions vis à vis de mes proches ?
Comment leur expliquer le vide que je ressens ? Sachant que je n'arrive pas à communiquer mes sentiments.
Serais-je capable de rester forte quand nos relations vont se dégrader ? Je suis capable d'être forte, mais j'ai tellement peur de leur réaction.
Qu'est ce que je veux pour plus tard ? Une famille ? Des enfants ? Une maison ? Des voyages ? Beaucoup d'argent ? Une vie décalée ?
Est-ce qu'un jour je serai capable d'aimer quelqu'un sereinement ?
Comment continuer à vivre chez eux alors que je ne rêve que d'une chose : avoir mon indépendance une bonne fois pour toute ? Ce qui n'arrivera pas avant 6 mois.
Voilà, et tout ça en boucle.
En fait, j'écris surtout ça pour laisser une trace. Parce que je sais qu'il n'y a que le temps libre qui va m'aider à répondre à tout ça, tout comme le fait de ne plus travailler ici. Et que demain soir, mon chef est en vacances donc qu'après ça va être PEPERE. Mais j'aimerais tellement être en janvier, avoir du temps pour moi, pour réfléchir tranquillement.
Promis après, j'arrêterais d'écrire mais là j'en ai trop besoin .