(Merci Wayzea pour le topic, on a moins l’impression d’être seule.)
Mes crises d’angoisse ont commencées il y a 3 ans de ça. Mes parents étaient partis en week-end, j’étais seule chez moi, et là un gros sentiment de panique m’a pris, palpitations, nausées, vertiges, la totale. Ce soir là je n’ai pas pu rester seule chez moi, j’ai du me réfugier chez mon copain.
Je suis allée chez le docteur, qui m’a prescrit du magnésium et du repos. Mais les symptômes se sont de plus en plus aggravés. J’ai par la suite été suivie par un psychiatre, qui à part me bourrer d’anxiolytiques et d’antidépresseurs (qui m’ont quand même beaucoup soulagés sur une courte durée), ne m’a pas beaucoup aidé. Je ne dormais plus la nuit, ou très mal, j’avais des vertiges et des palpitations à tout bout de champ, j’étais devenue incapable de conduire, aller au cinéma m’angoissait. Je suis resté au moins deux semaines prostrée chez moi, à regarder la télé en pyjama et à pleurer, jusqu’à ce que mes parents me forcent à mettre le nez dehors.
J’ai fini par arrêter progressivement mon traitement. Ca va un peu mieux maintenant, mais je regrette le temps où j’étais insouciante.
L’angoisse vis à vis du futur m’a beaucoup travaillée il fut un temps, mais je commence à la maîtriser, maintenant que mes études et mon projet professionnel sont plus arrêtés. Il n’empêche que j’ai beaucoup de mal à accepter le changement, le moindre écart dans ma routine me perturbe facilement (je ne sais pas si c’est compréhensible).
Par contre, encore maintenant, j’angoisse facilement de peur d’être malade. Ce n’est pas d l’hypocondrie, mais j’ai par exemple du mal à me promener dans une foule compacte, par peur de tomber dans les pommes. Je me balade toujours avec un plastique et des bonbons à la menthe dans mon sac de peur de vomir. Dis comme ça, ça a l’air ridicule, mais ça me pourrit vraiment la vie.
Mes crises d’angoisse ont commencées il y a 3 ans de ça. Mes parents étaient partis en week-end, j’étais seule chez moi, et là un gros sentiment de panique m’a pris, palpitations, nausées, vertiges, la totale. Ce soir là je n’ai pas pu rester seule chez moi, j’ai du me réfugier chez mon copain.
Je suis allée chez le docteur, qui m’a prescrit du magnésium et du repos. Mais les symptômes se sont de plus en plus aggravés. J’ai par la suite été suivie par un psychiatre, qui à part me bourrer d’anxiolytiques et d’antidépresseurs (qui m’ont quand même beaucoup soulagés sur une courte durée), ne m’a pas beaucoup aidé. Je ne dormais plus la nuit, ou très mal, j’avais des vertiges et des palpitations à tout bout de champ, j’étais devenue incapable de conduire, aller au cinéma m’angoissait. Je suis resté au moins deux semaines prostrée chez moi, à regarder la télé en pyjama et à pleurer, jusqu’à ce que mes parents me forcent à mettre le nez dehors.
J’ai fini par arrêter progressivement mon traitement. Ca va un peu mieux maintenant, mais je regrette le temps où j’étais insouciante.
L’angoisse vis à vis du futur m’a beaucoup travaillée il fut un temps, mais je commence à la maîtriser, maintenant que mes études et mon projet professionnel sont plus arrêtés. Il n’empêche que j’ai beaucoup de mal à accepter le changement, le moindre écart dans ma routine me perturbe facilement (je ne sais pas si c’est compréhensible).
Par contre, encore maintenant, j’angoisse facilement de peur d’être malade. Ce n’est pas d l’hypocondrie, mais j’ai par exemple du mal à me promener dans une foule compacte, par peur de tomber dans les pommes. Je me balade toujours avec un plastique et des bonbons à la menthe dans mon sac de peur de vomir. Dis comme ça, ça a l’air ridicule, mais ça me pourrit vraiment la vie.