@Margot Et Sa Bulle
Je suis traductrice depuis 2017 (spécialisée UI/VR/jeux vidéo), sans diplôme de traduction, et sans aucune formation au niveau des outils (j'ai appris MemoQ sur le tas quand on m'a donné des accès pour des boulots - et je plussoie, MemoQ c'est mieux que Trados).
On ne pense pas toujours à la localisation dans le domaine de la traduction, mais c'est hyper intéressant, assez dynamique et on peut y entrer par la petite porte: le LQA (Localization Quality Assurance): en gros, le travail n'est pas de traduire, mais de relire; pour peu qu'on aie de bons collègues expérimentés, on apprend sur le tas, et surtout, ça permet de voir TOUS les écueils à éviter au niveau de la localisation; les recruteurs apprécient en général beaucoup l'expérience de LQA pour les boulots de traduction, et même si je vois mal de grosses boîtes donner des contrats à quelqu'un qui n'a que du LQA dans sa besace, des boîtes plus petites sont prêtes à donner sa chance au candidat.
Ne pas hésiter aussi, quand le CV est un peu maigre, à demander directement le test de traduction (trop souvent non rémunéré...) pour montrer que l'expérience ne fait pas tout.
En gros, ne pas hésiter à y aller au culot.
Edit (oubli):
Ah et aussi, tu peux aller jeter un œil du côté de TWB (translators without borders): ils ont un outil de trad simplifié assez similaire à ce qu'on peut trouver sur MemoQ, ils ont divers projets, et ont toujours besoin de traducteurs. C'est évidemment bénévoles, mais il y a plein de ressources, les sujets sont variés, et ça fait de l'expérience.