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@Kaeloolagrenouille Merci pour cette réponse très détaillée. J'essaye effectivement de faire ce travail sur moi, et la plupart du temps j'y arrive, mais là ce mois-ci c'était bien plus difficile que d'habitude. Comme toi, j'ai hérité d'un fonctionnement familial que je souhaite ne pas reproduire (chez mes parents c'étaient pas tant les disputes que les attaques passives-agressives et le ton irrité tout en maintenant que "mais non je ne suis pas de mauvaise humeur").
Les vacances devraient effectivement aider. Je ne suis pas non plus particulièrement pessimiste à ce sujet, mais je suis contente d'avoir noté cette petite inquiétude ici, parce que ça me permet non seulement de bénéficier de vos conseils mais aussi d'avoir inscrit quelque part que je devais faire attention, ça devrait m'aider à agir en conséquence.
@Matilda Verdebois Merci à toi aussi ! C'est exactement ça, c'est une question de patience qui s'est épuisée.
Nous non plus on ne s'engueule vraiment pas beaucoup du tout. Mais sans craindre l'escalade vers les disputes, j'aimerais vraiment ne pas devenir comme ma mère qui communique sur ses besoins de manière uniquement passive agressive.
C'est quelque chose dont j'ai déjà parlé avec ma psy et sur lequel j'ai déjà pu bosser. Je pense qu'encore une fois tout est là : c'est un travail, et comme récemment le travail (au sens professionnel cette fois) m'a épuisée, je n'avais plus l'énergie pour me surveiller et contrôler cette manière de m'exprimer qui est manifestement encore en moi.
En fait je suis très contente d'avoir rencontré mon copain à l'âge auquel je l'ai rencontré, et pas avant, parce que ça a vraiment été un nouveau départ, on a globalement vraiment réussi à communiquer sainement dès le début, et même nos disputes sont respectueuses et pas violentes. Mais ces derniers temps, j'ai l'impression d'être rattrapée par le modèle du couple aigri (et je vois bien que ça vient surtout de moi haha), je pense encore une fois que le spectre du couple de mes parents me hante un peu.
Coucou
Juste un petit truc en plus pour compléter ce que les autres ont dit. Mon conjoint et moi sommes tous les deux prof et les moment où on s'agace sur l'autre parce qu'on a passé une journée difficile, on connait bien.
Maintenant, on a appris à le reconnaitre et à le dire. Si je suis agacée et que je relâche ça sur lui, je communique tout de suite que ce n'est pas à cause de lui mais à cause de ma journée et je m'excuse d'avoir été un peu agressive. Il fait pareil et ça permet de désamorcer très vite le conflit potentiel.
En outre, apprendre à reconnaitre ma source d'agacement m'a été vraiment très utile (c'est cliché mais je suis hargneuse au début de mes règles) et ça me permet de mieux gérer ma relation aux autres de savoir si je déteste une personne juste parce que je déteste tout ou parce qu'elle le mérite.
En ce qui concerne les règles, chez certaines j'ai l'impression que ça n'impacte pas leur humeur, chez d'autres oui. Mes règles ont amplifiées mes émotions pendant des années. En vieillissant ça s'est atténué. C'est un cliché qui a pour origines des réalités biologiques.
Oui effectivement c'est mieux de le comprendre, moi ça me permettait/permet de me dire que ça va passer quand ça arrive et d'en tenir compte.
Bonsoir !
J'aimerais avoir des regards extérieurs sur un dilemme de situation de couple qu'on pourrait résumer comme suit : est-ce que je lui envoie un message pour me décharger d'une partie de ma colère et lui faire savoir ce que je ressens, ou est-ce que ça serait très égoïste et qu'il vaut mieux prendre sur moi et attendre un meilleur moment ?
J'ai du mal là tout de suite à me mettre à sa place et à savoir comment j'aimerais que ça se passe si la situation était inversé.