uppyeyes Moi la vaisselle sale et les poubelles qu'elles laissent déborder (oui, j'aime bien tester leurs limites), je connais mais ça s'arrête là.
A
AnonymousUser
Guest
Je suis la seule de la maison à penser à acheter du papier-toilette quand le dernier rouleau est en place, j'achète du dentifrice pour nous trois depuis genre six mois (d'ailleurs, la dernière fois que l'un de mes colocs est parti en voyage, il a emmené notre UNIQUE tube de dentifrice, bien sûr il est parti un dimanche matin, où tout est fermé...), des éponges, du café, de la lessive, bref tout ce dont on a tous besoin et qu'il serait ridicule d'avoir en triple. Mais ça commence tout doucement à me taper sur le système, ils doivent se dire "c'est bon elle s'en occupera" et ça m'énerve. Du coup on a plus de liquide vaisselle depuis genre trois jours, je m'en fous parce que je mange rarement à la maison mais je me demande quand l'un d'eux se décidera à se bouger le cul jusqu'au supermarché. Donc je fais la grève de la vaisselle aussi, notre cuisine est dégueulasse -comme d'hab j'ai envie de dire- mais vu que, bien sûr, je suis la seule à nettoyer habituellement, ils doivent encore une fois se dire "c'est bon elle s'en occupera".
...ou comment vivre avec deux trentenaires célibataires qui ne sont pas le moins du monde rebutés par la crasse devient un combat permanent.
...ou comment vivre avec deux trentenaires célibataires qui ne sont pas le moins du monde rebutés par la crasse devient un combat permanent.
Aiika;1478033 a dit :
Ahh je te comprends. J'ai découvert un phénomène unique en colocation: le débordement de poubelles et le dépot...à côté de la poubelle. Constaté après être partie qq jours. Et le pire c'est que je n'arrive pas à savoir si c'est de la flemme de la part des 4 autres coloc, parce qu'elles pensent "y'en a forcément une qui le fera", ou parce que pour elle "une poubelle c'est sale donc je n'y touche pas". Grande interrogation...
A
AnonymousUser
Guest
Lio.;1477457 a dit :
J'ai craqué, j'ai acheté du liquide vaisselle tout à l'heure, j'étais au supermarché pour une petite course et quand j'ai vu que le moins cher n'était qu'à 0,65 cents, je me suis dit que je n'allais pas être aussi ridicule qu'eux (même si c'est loin d'être une question d'argent)
Tiens, la poubelle déborde chez nous aussi !
J'étais un peu dans le même cas que vous (poubelles qui débordent, bouteilles à sortir, plus de liquide vaisselle...) et ce matin quand je suis arrivée tout était rangé. J'étais vraiment impressionnée jusqu'à ce que je découvre que c'est la mère d'une d'entre elles qui est passé et a TOUT nettoyé, vidé etc. J'me disais bien aussi...
Rha super ! Quand c'est pas son pote (qui d'ailleurs ressemble vachement à Greg le millionnaire quand il parle) ben, c'est sa «copine».
Pendant une heure, toute à l'heure, avec son pote, il n'ont pas arrêté de parler fort : «Ouais donc je l'ai vu sur facebook... mais, la meuf, je lui ai dit cash,...» «Non mais attend ! La meuf, elle attend que ça...» «Ce soir, si je la vois, je vais la pécho, je te dis pas...» Bon ça donne à peu près ça.
Mais maintenant, c'est sa «copine» ! Musique forte, et je rigole, et je parle fort pour bien me faire remarquer. Même quand ils font l'amour, elle n'est pas discrète. Je comprends pas comment elle fait pour jouir autant et «aussi fort». Un matin, ils l'ont fait 3 fois. Moi je peux pas. Comment elle fait ? Elle simule ? Mouais ça doit être ça (non, non, je ne suis pas jalouse).
Il est quand même sympa le coloc, mais il sait très bien qu'entre nos deux chambres, on entend tout.
Pendant une heure, toute à l'heure, avec son pote, il n'ont pas arrêté de parler fort : «Ouais donc je l'ai vu sur facebook... mais, la meuf, je lui ai dit cash,...» «Non mais attend ! La meuf, elle attend que ça...» «Ce soir, si je la vois, je vais la pécho, je te dis pas...» Bon ça donne à peu près ça.
Mais maintenant, c'est sa «copine» ! Musique forte, et je rigole, et je parle fort pour bien me faire remarquer. Même quand ils font l'amour, elle n'est pas discrète. Je comprends pas comment elle fait pour jouir autant et «aussi fort». Un matin, ils l'ont fait 3 fois. Moi je peux pas. Comment elle fait ? Elle simule ? Mouais ça doit être ça (non, non, je ne suis pas jalouse).
Il est quand même sympa le coloc, mais il sait très bien qu'entre nos deux chambres, on entend tout.
Il y a cinq minutes, la cousine de ma coloc', sur un ton bienheureux : "Et sinon, t'étais pas censée faire le ménage aujourd'hui ?"
Et sinon, qui t'héberge depuis deux mois ?
Lalalalala.
Et sinon, qui t'héberge depuis deux mois ?
Lalalalala.
A
AnonymousUser
Guest
Pour moi c'est réglé.
Quand j'ai besoin, je me réfugie chez moi, c'est-à-dire dans un logement que je loue pour aller en cours (c'est à une heure de route en voiture). Je l'ai minimum jusqu'en juin, c'est un garde-fou -- et AU PIRE, je peux le garder durant juillet et août, même si je ne pourrais y retourner que le week-end pour des raisons professionnelles et que cela me ferait payer un loyer en plus.
Quant à la cohabitation avec le copain de ma mère, c'est également réglé. Je ne m'implique plus dans les relations. Il est là, très bien, je réponds quand il dit bonjour, je ne l'ignore pas, ça ve na pas plus loin. Quand il essaye de me parler, en revanche, je l'ignore. C'est-à-dire que je coupe tous les signaux non-verbaux qui signifient que je l'accepte et que je l'entends (pas de regard, pas de réaction physique etc.). Ca se fait automatiquement. Néanmoins je ne suis pas dans une positionnement d'hostilité. J'accepte sa présence mais je ne vais pas plus loin.
Pour le problème d'intimité et des confusions activité professionnelle et vie familiale (ma mère et ses chambres d'hôtes), j'ai demandé à ma mère qu'elle m'inscrive sur un papier ou qu'elle me prévienne verbalement quant aux réservations et aux différents programmes, afin que je puisse anticiper. Hier elle m'a prévenu à l'avance que deux hôtes mangeraient avec nous le soir, j'ai donc pu m'installer dans la pièce voisine seule tout en profitant du repas (j'avais mon plateau-repas et j'allais me servir quand je voulais dans la pièce où ils étaient), que j'ai pris à une heure adaptée à mon programme (notamment de révisions, mais aussi à mes cycles chronobiologiques, j'aii faim à certaines heures, pas à d'autres).
Voilà globalement. Je récupère un peu de repos et de territoire tout en laissant vivre les autres.
Quand j'ai besoin, je me réfugie chez moi, c'est-à-dire dans un logement que je loue pour aller en cours (c'est à une heure de route en voiture). Je l'ai minimum jusqu'en juin, c'est un garde-fou -- et AU PIRE, je peux le garder durant juillet et août, même si je ne pourrais y retourner que le week-end pour des raisons professionnelles et que cela me ferait payer un loyer en plus.
Quant à la cohabitation avec le copain de ma mère, c'est également réglé. Je ne m'implique plus dans les relations. Il est là, très bien, je réponds quand il dit bonjour, je ne l'ignore pas, ça ve na pas plus loin. Quand il essaye de me parler, en revanche, je l'ignore. C'est-à-dire que je coupe tous les signaux non-verbaux qui signifient que je l'accepte et que je l'entends (pas de regard, pas de réaction physique etc.). Ca se fait automatiquement. Néanmoins je ne suis pas dans une positionnement d'hostilité. J'accepte sa présence mais je ne vais pas plus loin.
Pour le problème d'intimité et des confusions activité professionnelle et vie familiale (ma mère et ses chambres d'hôtes), j'ai demandé à ma mère qu'elle m'inscrive sur un papier ou qu'elle me prévienne verbalement quant aux réservations et aux différents programmes, afin que je puisse anticiper. Hier elle m'a prévenu à l'avance que deux hôtes mangeraient avec nous le soir, j'ai donc pu m'installer dans la pièce voisine seule tout en profitant du repas (j'avais mon plateau-repas et j'allais me servir quand je voulais dans la pièce où ils étaient), que j'ai pris à une heure adaptée à mon programme (notamment de révisions, mais aussi à mes cycles chronobiologiques, j'aii faim à certaines heures, pas à d'autres).
Voilà globalement. Je récupère un peu de repos et de territoire tout en laissant vivre les autres.
Ma coloc vient d'inviter une troupe de beaufs et de pouffiasses en leggings, ils comptent rester dans le jardin, qui va passer la soirée dans sa chambre...?
On se reparle quand on se voit mais pour moi, un truc s'est cassé. J'en ai tellement eu marre ces dernières semaines que je n'arrive même plus à penser à elle avec de l'affection. C'est vraiment dommage car on avait une belle amitié. J'espère que quand on déménagera chacune de notre côté ça ira un peu mieux...
je voulais me prendre une coloc à la rentrée prochaine mais la après toutes vos histoires sa donne pas très envie :errf:
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