@Lemon Curd Merci pour ta réponse =)
Je travaillais pour Foreign Languages Press, au sein de CIPG si tu connais. Effectivement, les textes étaient traduits par des Chinois et je devais les corriger (voire retraduire par moment). J'ai toujours un peu de mal lorsqu'une personne traduit vers une langue qui n'est pas la sienne, mais visiblement ça fonctionne comme ça depuis quasiment toujours (du moins, selon mon responsable).
Pour l'instant, mes tarifs sont étranges. J'ai un client fixe pour lequel je traduits des romans et c'est ce sur quoi je préfère travailler, mais le prix au mot est ultra faible (0,015€). Pour contrebalancer, j'effectue des travaux beaucoup plus rapides pour d'autres clients à 0,05€/mot.
Mais là, ce n'est juste plus vivable. Je traduis en moyenne un roman de 40 000 mots par mois (ce qui normalement devrait constituer mon travail pour cette période) auxquels s'ajoutent tous les petits contrats. Résultat : je travaille énormément pour pas grand chose et la qualité de mes traductions en souffre parfois (je sais que pourrais faire mieux si mes deadlines étaient moins courtes, et ça me frustre).
Bref, je pense encore m'occuper d'un ou deux ouvrages avant de contacter les maisons d'édition.
Je travaillais pour Foreign Languages Press, au sein de CIPG si tu connais. Effectivement, les textes étaient traduits par des Chinois et je devais les corriger (voire retraduire par moment). J'ai toujours un peu de mal lorsqu'une personne traduit vers une langue qui n'est pas la sienne, mais visiblement ça fonctionne comme ça depuis quasiment toujours (du moins, selon mon responsable).
Pour l'instant, mes tarifs sont étranges. J'ai un client fixe pour lequel je traduits des romans et c'est ce sur quoi je préfère travailler, mais le prix au mot est ultra faible (0,015€). Pour contrebalancer, j'effectue des travaux beaucoup plus rapides pour d'autres clients à 0,05€/mot.
Mais là, ce n'est juste plus vivable. Je traduis en moyenne un roman de 40 000 mots par mois (ce qui normalement devrait constituer mon travail pour cette période) auxquels s'ajoutent tous les petits contrats. Résultat : je travaille énormément pour pas grand chose et la qualité de mes traductions en souffre parfois (je sais que pourrais faire mieux si mes deadlines étaient moins courtes, et ça me frustre).
Bref, je pense encore m'occuper d'un ou deux ouvrages avant de contacter les maisons d'édition.