@mimichocolate : comme pour toutes les situations de blocage, je te conseillerai de t'entraîner (oui c'était le conseil utile du jour...voala).
Plus clairement : cible une voie rapide avec voie d'insertion sur un parcours que tu connais. Si tu n'en connais pas : tu cibles et tu passe toutes tes soirées à traîner dans le coin pour bien connaître les routes tout autour, comme ça, quand tu t'entraîneras à prendre cette voie rapide, tu sauras exactement où tu vas, tu sauras également par où tu peux en sortir si jamais tu as un coup de panique.
Ensuite, entraîne-toi à prendre la voie d'insertion à des heures creuses, quand il y a un minimum de circulation (généralement le dimanche tôt le matin -avant 9h). Une fois que tu as l'impression que tu pourrais la faire les yeux fermés, essaye des heures où il y a un peu plus de circulation. ça va te permettre de gérer ton accélération sur la voie d'insertion. Dis-toi que sur voie d'insertion, c'est la différence d'allure entre ton véhicule et celui des autres véhicules déjà sur la voie qui peut te troubler.
A chaque palier, dès que tu te sens en confiance, tu peux passer au palier suivant.
C'est vrai que ça peut prendre du temps, mais de toute façon, en conduite on ne prend de l'assurance qu'en conduisant.
@Renly il faut que tu sentes bien ton point de patinage.
A l'arrêt en légère pente : PG sur l'embrayage / PD sur le frein.
Pour démarrer : PG relève doucement jusqu'au point de patinage / PD sur le frein (peut se relever tout doucement si aucun véhicule ne te serre de trop près à l'arrière).
Puis : PG au point de patinage / PD passage rapide du frein à l'accélérateur, légère accélération (là l'intensité de l'accélération va dépendre de ta voiture : sur les vieilles voitures il faut accélérer un peu plus).
Pendant que PD accélère de plus en plus mais toujours progressivement, PG relâche l'embrayage tout aussi progressivement.
Avec le temps et l'habitude, les étapes 2-3-4 se font de manière très rapide, quasi concomitante.
Au début, l'accélération aura tendance à faire "crier" le moteur si l'embrayage n'est pas relevé suffisamment. Avec le temps, on arrive à doser.
Plus clairement : cible une voie rapide avec voie d'insertion sur un parcours que tu connais. Si tu n'en connais pas : tu cibles et tu passe toutes tes soirées à traîner dans le coin pour bien connaître les routes tout autour, comme ça, quand tu t'entraîneras à prendre cette voie rapide, tu sauras exactement où tu vas, tu sauras également par où tu peux en sortir si jamais tu as un coup de panique.
Ensuite, entraîne-toi à prendre la voie d'insertion à des heures creuses, quand il y a un minimum de circulation (généralement le dimanche tôt le matin -avant 9h). Une fois que tu as l'impression que tu pourrais la faire les yeux fermés, essaye des heures où il y a un peu plus de circulation. ça va te permettre de gérer ton accélération sur la voie d'insertion. Dis-toi que sur voie d'insertion, c'est la différence d'allure entre ton véhicule et celui des autres véhicules déjà sur la voie qui peut te troubler.
A chaque palier, dès que tu te sens en confiance, tu peux passer au palier suivant.
C'est vrai que ça peut prendre du temps, mais de toute façon, en conduite on ne prend de l'assurance qu'en conduisant.
@Renly il faut que tu sentes bien ton point de patinage.
A l'arrêt en légère pente : PG sur l'embrayage / PD sur le frein.
Pour démarrer : PG relève doucement jusqu'au point de patinage / PD sur le frein (peut se relever tout doucement si aucun véhicule ne te serre de trop près à l'arrière).
Puis : PG au point de patinage / PD passage rapide du frein à l'accélérateur, légère accélération (là l'intensité de l'accélération va dépendre de ta voiture : sur les vieilles voitures il faut accélérer un peu plus).
Pendant que PD accélère de plus en plus mais toujours progressivement, PG relâche l'embrayage tout aussi progressivement.
Avec le temps et l'habitude, les étapes 2-3-4 se font de manière très rapide, quasi concomitante.
Au début, l'accélération aura tendance à faire "crier" le moteur si l'embrayage n'est pas relevé suffisamment. Avec le temps, on arrive à doser.