@Izlïyanië. Félicitations pour ton admissibilité
Pour les oraux, sois toi-même. Si tu joues un rôle, le jury va s'en rendre compte et risque de ne pas apprécier.. N'aies pas peur de ne pas savoir quoi répondre à leurs questions, n'hésites pas à leur demander de reformuler et même dire que tu ne sais pas quoi répondre (il vaut mieux ça que de rester dans un silence de plomb..)
Sinon, tu peux te tenir un peu au courant de l'actualité, si jamais on te pose une question dessus.
Après tout dépend de quel type d'oral ce sera.. Pour ma part ça avait été en deux parties : un travail de groupe autour d'une problématique sociale (c'est pour évaluer ta place et la façon dont tu te comportes avec d'autres personnes, est-ce que tu es en retrait ou le leader, est-ce que tu sais prendre en compte l'avis de l'autre, ...), et un entretien en individuel avec un ES et une psy, j'avais eu quelques questions sur mon parcours scolaire et professionnel, pourquoi je voulais faire ce métier et une mise en situation.
Pour finir je te dirais de ne pas te mettre la pression et surtout, de rester toi-même
je ne savais pas que le statut d'apprenti.e permettait de "remonter" sur les listes ! En tout cas, j'y vois bien plus clair ! 
(l'hôpital me poursuit, j'y ai fais mon stage en alternance entre le personnel et les patients, et j'y ai fais un CDD de 3 mois avant d'enquiller avec les élèves). Pas du côté des patients mais bien du côté des personnels. Le poste auprès des soignants est ultra passionnant. C'est une population de salariés qui est vraiment en demande, qui ont parfois du mal à solliciter (le soignant qui parfois devient soigné ... pas facile !). La place des RPS est aussi hyper intéressante à travailler. Bref, j'adore ce poste. Parfois l'éducation nationale me manque (j'aime vraiment beaucoup ce milieu et le travail avec les élèves est passionnant aussi) mais c'est vraiment un domaine où j'ai senti de plein fouet le recul hallucinant des moyens, la violence institutionnelle, le délaissement des campagnes (j'étais au fin fond du Vaucluse, donc niveau ruralité on était au top 
). Je me suis inscrite après une énième situation sur laquelle je m'arrachais les cheveux avec le collègue de l'AEMO. J'en ai eu marre de voir les gosses sacrifiés et ça commençait à me heurter personnellement donc j'ai quitté le navire. Je suis vraiment admirative de ceux qui ont réussi à rester, qui tentent toujours de faire au mieux malgré le contexte. Je continue de suivre les évolutions en protection de l'enfance et à chaque fois j'ai envie de m'arracher les yeux.
