@Heather. Après, je viens de me rendre compte en vous lisant, que ça dépend beaucoup beaucoup de la façon qu'on a du végétar(l)isme. Personnellement, je ne verrais pas consommer un produit qui contient de la gélatine, même si elle est présente à 0.1%. Tu vas dire que je suis extrémiste, mais pour moi, que ce soit 15% ou 0.1% c'est pareil, parce qu'il y a des animaux dedans, parce qu'on mange des animaux. En moindre quantité certes, mais quand même. Effectivement si certaines personnes sont plus laxistes au niveau du végétarisme, elles ne vont pas y prêter attention. Après, pour en revenir à l'exemple de Pastel (parce que c'est de là que tout est parti 
), les bonbons qu'elles mangeaient (les têtes brûlées), j'avais déjà regardé et il me semble (je n'en suis pas certaine) que la gélatine était quand même en quantité importante. Le problème, c'est que je ne sais pas si ça révèle de la fainéantise en se disant "il y a de la gélatine mais c'est bon y'a pas un poulet de 2kg dedans" ou vraiment d'une inculture vis à vis du sujet (ce qui m'étonne quand même, parce que les omnis sont les premiers à dire "t'es sûr que tu peux manger çaaaa ? y'a pas de gélatine dedans ? 
", donc bon. Pour moi, elle était au courant (surtout qu'elle regarde parfois les compos des paquets avant de goûter) mais merde c'est trop bon alors je m'en fous. Moi aussi j'aimerais bien remanger des têtes brûlées et toutes ces conneries mais je le fais pas, parce que j'ai choisi de ne plus consommer aucun animal, tout simplement. On en revient toujours au même point de "faire les choses à moitié".
Comme tu le disais, effectivement certaines personnes mettent plus de temps à faire les transitions, les changements, mais pour ma part, à partir du moment où l'on sait et que c'est dans nos possibilités, on doit le faire. Pour ma part. C'est pas bien compliqué de se dire "j'arrête de manger des bonbons avec de la gélatine", c'est pas la fin du monde, c'est que des bonbons (qui participent quand même à l'exploitation), surtout qu'il y a en a d'autres aussi bon sans.
), les bonbons qu'elles mangeaient (les têtes brûlées), j'avais déjà regardé et il me semble (je n'en suis pas certaine) que la gélatine était quand même en quantité importante. Le problème, c'est que je ne sais pas si ça révèle de la fainéantise en se disant "il y a de la gélatine mais c'est bon y'a pas un poulet de 2kg dedans" ou vraiment d'une inculture vis à vis du sujet (ce qui m'étonne quand même, parce que les omnis sont les premiers à dire "t'es sûr que tu peux manger çaaaa ? y'a pas de gélatine dedans ? ", donc bon. Pour moi, elle était au courant (surtout qu'elle regarde parfois les compos des paquets avant de goûter) mais merde c'est trop bon alors je m'en fous. Moi aussi j'aimerais bien remanger des têtes brûlées et toutes ces conneries mais je le fais pas, parce que j'ai choisi de ne plus consommer aucun animal, tout simplement. On en revient toujours au même point de "faire les choses à moitié".Comme tu le disais, effectivement certaines personnes mettent plus de temps à faire les transitions, les changements, mais pour ma part, à partir du moment où l'on sait et que c'est dans nos possibilités, on doit le faire. Pour ma part. C'est pas bien compliqué de se dire "j'arrête de manger des bonbons avec de la gélatine", c'est pas la fin du monde, c'est que des bonbons (qui participent quand même à l'exploitation), surtout qu'il y a en a d'autres aussi bon sans.
!
La prochaine fois que je serai dans une telle période, j'espère que j'aurai trouvé des astuces pour manger vite et végétal mais aujourd'hui ça n'est pas le cas. Je ne pense pas que ça fasse de moi une hypocrite ou une personne qui se fiche du végétalisme et qui l'abandonne immédiatement. 
Nos priorités ne peuvent pas toujours et dans toutes les circonstances être le végéta*isme... Mais les difficultés qu'on rencontre dans notre végé-choix peuvent nous aider à le renforcer, à trouver des solutions, et même peut-être à aider ceux qui viendront après nous ! 
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