@Léona B. : comme je comprends parfaitement ta réponse.
Mais du coup, dans ta première partie, tu mets en avant les conditions "améliorées" si je puis dire pour les salariés. Pourtant, tout dans l'article que j'ai posté tourne autour de la seule question de la bienveillance envers l'animal. On parle même de la création d'une charte des droits des animaux (ce qui me semble risible... Le premier point d'une telle charte ne serait-il pas "tout animal a droit de vie" ?
). De telles considérations dans un endroit entièrement dédié à la mise à mort me semble aussi pertinent que de créer des dortoirs de luxe dans des chambres à gaz...
(si cet illustration choque qui que ce soit, je la retirerai !) Enfin, quand on voit le bœuf de Kobe, réputé pour être le meilleur au monde, et dont certains éleveurs n'hésitent pas à leur mettre de la musique ou à les masser pour rendre leur viande plus tendre, je me dis pourquoi pas...
Par contre, je ne comprends pas trop le rapport avec l'enfant. Penses-tu que la surveillance entraînerait de meilleures conditions pour les employés (avec des méthodes moins traumatisantes pour le personnel je suppose) qui pourrait à leur tour éventuellement suscité des vocations ?
Sur l'évolution de la consommation, tu me diras, j'ai peut être été un peu vite en besogne en effet. Cela m'avait particulièrement frappé après les révélations sur les poules élevées en batterie. J'avais constaté, en allant faire mes courses, que les œufs étiquetés 1 ou 0 étaient quasiment en rupture de stock comparé aux œufs étiquetés 3 !
Mais est-ce qu'une telle prise de conscience va perdurer ou est-ce seulement sous l'effet du choc ?