HAHAHAHAHA j'adore !
Pour moi raisonnable sous-entend que j'écoute ma raison pour me nourrir et pas mon corps, ce contre quoi je me bats depuis environ 5 ans dans la douleur (
)(si je rajoute les années de déni et de maladie ça fait 9 ans
), alors cimer mais NON
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@Patatartiney Hello ! Désolée que tu aies ce genre de problème.. Il est vrai qu'un test avec allergologue serait moins pénible non ? Le chocolat est très allergisant, j'ai un seuil de tolérance assez élevé mais certains doivent se rappeler de mon urticaire géant et de ma crise en pleine nuit. C'est à cause de l'histamine que ça contient, on est +/- tolérants (et ça empire avec l'âge il parait). Je n'y connais pas grand chose en aphte (en dehors du fait qu'un déjà c'est pénible donc
), mais est-ce que c'est une réaction inflammatoire ? Je sais de mon côté que mes soucis de peau sont en partie dus à ma conso de sucre, qui est assez inflammatoire.
@Grumpy Bunny Je ne me rappelle pas quel est ton parcours ni tes choix vis-à-vis de ta perte de poids, désolée, alors je ne sais pas si ça va te parler ou pas. Pour moi, ses propos s'inscrivent bien dans la philosophie Zermati, mais j'y ai trouvé d'autres choses (ou alors j'avais besoin d'une piqure de rappel) :
- c'est normal d'avoir envie de manger avec tous les signaux qu'on nous envoie (stimulations permanentes, que ce soit la télé, les magasins à tous les coins de rue, les aliments qui donnent envie de se resservir, nos proches, etc). C'est juste humain d'être tentée, qui plus est quand on a un passif avec la nourriture. On n'arrive pas tous à se détacher complètement de ça et c'est pas grave.
- J'aime bien l'analogie de la route, sur le choix qu'on peut faire d'essayer autre chose, pour voir ce qui se passe si on ne mange pas. Elle ne propose pas la résistance (qui physiquement chez moi correspond à une crispation de tout le corps, ça me donne l'impression d'avoir moins d'air), mais l'acceptation (et là, d'un coup, je respire mieux, j'essaie de voir ce qu'il se passe dans mon corps et si c'est vraiment si insupportable que ça de ne pas manger). Et elle insiste sur le fait que ce n'est pas parce qu'on réemprunte l'autoroute que l'autre chemin qu'on a créé disparait.
Ce n'est clairement pas suffisant selon moi pour arrêter avec les envies de manger, il y a plein de super bouquins sur le sujet qui m'ont changé la vie, mais aujourd'hui, ça m'aide. Je pense aussi que son truc n'est pas applicable (du moins pas avec un peu de pratique) lorsque l'envie est trop violente. De mon côté, dans ces cas-là, je ne suis pas en état. Par contre, on peut s'entrainer lorsque c'est moins impérieux pour être mieux préparée ensuite. Par exemple, ce matin, je savais que je n'aurais pas faim au petit-déjeuner (ça, c'est cérébral et j'aurais pu faire mieux : j'ai boulotté des chocolats hier soir devant la télé, je savais donc intellectuellement que je n'aurai pas faim). Réveillée à 9h, j'avais envie de manger ma tartine de Nocciolatta habituelle. Sauf que je me suis dit que c'était le bon moment pour voir ce que je ressentais. Au pire, ce serait 15, 30, 45 min de gagnées. Et finalement, en me posant (pas en évitant via une occupation quelconque), j'ai réalisé que certes, c'était pas très confortable, mais pas du tout invivable. J'ai déjeuné à 13h sans stress, un truc dont j'avais envie, et je suis passée à autre chose.
Elle propose en fait d'observer ce qu'il se passe et ainsi d'intégrer le fait :
1. qu'on survit
2. que c'est pas confortable mais pas grave
3. On est capable de ne pas utiliser la nourriture pour répondre à une émotion (ennui, habitude, stress, pression sociale, etc).
Bon, c'est sûrement très confus, je sais pas si je t'ai beaucoup éclairée. Si tu cherches des références pour l'alimentation intuitive,
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Ah et je trouve sa deuxième vidéo mieux fichue que la première (celle avec 3 étapes) au fait !
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