@Grumpy Bunny Concernant le fait de remplacer la nourriture par une autre activité, je suis de ton avis : ça peut marcher un temps mais ça n'apprend pas à accepter ces émotions. Ca peut par contre être une autre solution quand on est submergée, ce qui fait perdre de la force au réflexe émotion = manger.
C'est vrai qu'il est difficile de s'intéresser à un tel sujet sans en faire une obsession (enfin pour moi, c'est une obsession depuis tellement longtemps que bon, un peu plus un peu moins... ), après passer du temps là-dessus peut justement te permettre à terme de régler le sujet de ne pas y revenir. Je lis beaucoup de résistance dans ton post, que ce soit la gestion des moments seules ou des soirées. Mon avis et mon expérience sur la question, c'est que la résistance renforce à la fois l'envie de manger et ses répercussions : plus on lutte, plus c'est dur, plus le craquage est important car "foutu pour foutu", plus on s'en veut derrière et c'est reparti pour un tour. Il faudrait que tu puisses faire retomber cette pression. Je n'ai aucune solution toute faite parce qu'on marche pas toutes pareil, mais le jour où j'ai compris que je n'y étais pour rien, que je n'étais pas responsable de mes compulsions, ça m'a changé la vie. Oui, on peut travailler sur son fonctionnement, changer, mais juste résister, c'est pas humain. Je suis comme toi (et puis je vis seule), c'est le soir en rentrant du travail que j'ai envie de grignoter. Ca m'arrive régulièrement, j'essaie toujours (souvent) de comprendre ce qui se joue mais j'accepte aussi cet appel de la bouffe, parce que si je l'écoute, souvent il s'en va de lui-même au bout de 2/3 soirs. Il faudrait justement intégrer que tu n'as pas de prise dessus pour le moment, parce que c'est la manière la plus simple qu'a trouvé ton cerveau pour répondre à une émotion. Et par exemple, avant j'étais pas capable de rester chez mes parents seule tant les placards sont pleins. Aujourd'hui, ça ne pose plus le moindre problème parce que je sais que je peux manger.
Bref, c'est sûrement confus. Si tu as l'envie, le temps et l'argent, je te conseille 3 lectures sur le sujet, qui m'ont toutes beaucoup aidé :
Maigrir sans régime du Docteur Zermati (tu dois déjà pouvoir trouver pas mal d'articles sur le sujet sur internet, la blogueuse Pensées by Caro a été suivi par lui il y a quelques années, et l'instagrammeuse Ely Killeuse en a beaucoup parlé). Ce n'est pas un livre pour maigrir contrairement à ce qu'annonce le titre, mais pour comprendre les mécanismes du corps humain et trouver des solutions à l'alimentation émotionnelle
Manger en paix du docteur Apfeldorfer. C'est un propos assez proche du précédent, mais plus tourné psy.
Le poids, un enjeu féministe (j'ai fait un retour sur ce livre il y a quelque temps ici, avec le nom tu devrais pouvoir retrouver mon message) qui concerne plus particulièrement l'acceptation du corps.
@dodoindo C'est super pernicieux l'alcool ! J'ai la chance de pas du tout aimer la bière, mais un petit verre de vin... Je bois quasi jamais d'alcool au quotidien (jamais au resto, j'en ai pas chez moi sauf exception), par contre quand je sors... . C'est pas hyper bien accepté socialement de demander de l'eau à table ou du perrier mais je m'en moque. Si tu veux d'autres idées de boissons sans alcool, moi je suis très Badoit ! Et tu peux pimper tout ça avec du Pulco c'est agréable l'été. Et il y a aussi les eaux de fruits de Palais des thés, à une époque j'en buvais beaucoup l'été c'est super bon.
Vous sentez que je suis en vacances et que je m'ennuie ? Franchement, je viens de passer une semaine à très peu bouger et je le vis pas bien, mais il fait beaucoup trop chaud pour reprendre la course et j'ai pas de voiture pour bouger .
C'est vrai qu'il est difficile de s'intéresser à un tel sujet sans en faire une obsession (enfin pour moi, c'est une obsession depuis tellement longtemps que bon, un peu plus un peu moins... ), après passer du temps là-dessus peut justement te permettre à terme de régler le sujet de ne pas y revenir. Je lis beaucoup de résistance dans ton post, que ce soit la gestion des moments seules ou des soirées. Mon avis et mon expérience sur la question, c'est que la résistance renforce à la fois l'envie de manger et ses répercussions : plus on lutte, plus c'est dur, plus le craquage est important car "foutu pour foutu", plus on s'en veut derrière et c'est reparti pour un tour. Il faudrait que tu puisses faire retomber cette pression. Je n'ai aucune solution toute faite parce qu'on marche pas toutes pareil, mais le jour où j'ai compris que je n'y étais pour rien, que je n'étais pas responsable de mes compulsions, ça m'a changé la vie. Oui, on peut travailler sur son fonctionnement, changer, mais juste résister, c'est pas humain. Je suis comme toi (et puis je vis seule), c'est le soir en rentrant du travail que j'ai envie de grignoter. Ca m'arrive régulièrement, j'essaie toujours (souvent) de comprendre ce qui se joue mais j'accepte aussi cet appel de la bouffe, parce que si je l'écoute, souvent il s'en va de lui-même au bout de 2/3 soirs. Il faudrait justement intégrer que tu n'as pas de prise dessus pour le moment, parce que c'est la manière la plus simple qu'a trouvé ton cerveau pour répondre à une émotion. Et par exemple, avant j'étais pas capable de rester chez mes parents seule tant les placards sont pleins. Aujourd'hui, ça ne pose plus le moindre problème parce que je sais que je peux manger.
Bref, c'est sûrement confus. Si tu as l'envie, le temps et l'argent, je te conseille 3 lectures sur le sujet, qui m'ont toutes beaucoup aidé :
Maigrir sans régime du Docteur Zermati (tu dois déjà pouvoir trouver pas mal d'articles sur le sujet sur internet, la blogueuse Pensées by Caro a été suivi par lui il y a quelques années, et l'instagrammeuse Ely Killeuse en a beaucoup parlé). Ce n'est pas un livre pour maigrir contrairement à ce qu'annonce le titre, mais pour comprendre les mécanismes du corps humain et trouver des solutions à l'alimentation émotionnelle
Manger en paix du docteur Apfeldorfer. C'est un propos assez proche du précédent, mais plus tourné psy.
Le poids, un enjeu féministe (j'ai fait un retour sur ce livre il y a quelque temps ici, avec le nom tu devrais pouvoir retrouver mon message) qui concerne plus particulièrement l'acceptation du corps.
@dodoindo C'est super pernicieux l'alcool ! J'ai la chance de pas du tout aimer la bière, mais un petit verre de vin... Je bois quasi jamais d'alcool au quotidien (jamais au resto, j'en ai pas chez moi sauf exception), par contre quand je sors... . C'est pas hyper bien accepté socialement de demander de l'eau à table ou du perrier mais je m'en moque. Si tu veux d'autres idées de boissons sans alcool, moi je suis très Badoit ! Et tu peux pimper tout ça avec du Pulco c'est agréable l'été. Et il y a aussi les eaux de fruits de Palais des thés, à une époque j'en buvais beaucoup l'été c'est super bon.
Vous sentez que je suis en vacances et que je m'ennuie ? Franchement, je viens de passer une semaine à très peu bouger et je le vis pas bien, mais il fait beaucoup trop chaud pour reprendre la course et j'ai pas de voiture pour bouger .