@Alice Ward C'est peut être une question bête mais c'est quoi une ""démarche d'alimentation intuitive ? ""
Rééquilibrage Alimentaire
- Initiateur de la discussion Aela.
- Date de début
@Lounaatic je vais essayer d'expliquer les grands points sans trop m'éparpiller 
- Je ne me fixe plus aucun interdit alimentaire
- Je ne classifie plus les aliments en "mauvais" ou "healthy"
- J'essaie de suivre au maximum les sensations de faim et de rassasiement de mon corps (même si ça veut dire sauter des repas ou au contraire manger plus de 3 fois par jours)
- J'écoute mes envies et je les honore (si j'ai envie de chocolat je vais pas manger une pomme). L'idée étant qu'au début on va avoir souvent envie de ces aliments "interdit" mais que comme il n'y a plus de privation ils ne seront plus des obsessions au final
Je parle de "démarche" d'alimentation intuitive parce que ce que je fais se rapproche de l'alimentation intuitive mais que je ne veux pas trop mettre une étiquette là dessus
(J'aime beaucoup les chaines youtube de Cindy Gagnol et Elyane C qui m'ont fait découvrir tout ça)
Je précise aussi que je ne dis pas que cette solution conviendrait à tout le monde mais pour moi qui suis surtout dans une démarche de guérison de TCA je pense que c'est ce qu'il me faut
- Je ne me fixe plus aucun interdit alimentaire
- Je ne classifie plus les aliments en "mauvais" ou "healthy"
- J'essaie de suivre au maximum les sensations de faim et de rassasiement de mon corps (même si ça veut dire sauter des repas ou au contraire manger plus de 3 fois par jours)
- J'écoute mes envies et je les honore (si j'ai envie de chocolat je vais pas manger une pomme). L'idée étant qu'au début on va avoir souvent envie de ces aliments "interdit" mais que comme il n'y a plus de privation ils ne seront plus des obsessions au final
Je parle de "démarche" d'alimentation intuitive parce que ce que je fais se rapproche de l'alimentation intuitive mais que je ne veux pas trop mettre une étiquette là dessus
(J'aime beaucoup les chaines youtube de Cindy Gagnol et Elyane C qui m'ont fait découvrir tout ça)
Je précise aussi que je ne dis pas que cette solution conviendrait à tout le monde mais pour moi qui suis surtout dans une démarche de guérison de TCA je pense que c'est ce qu'il me faut
Hello
Je viens faire un update. J'avais pris 4 kilos durant le confinement et je me sentais démoralisée.
Eh bien ça va beaucoup mieux surtout maintenant que je pratique le jeune intermittent ! Je ne compte pas vraiment les 16h de jeune, je mange le soir vers 20h/20h30 et je mange le midi avec mon mec ou mes collègues ce qui peut être autant vers midi que parfois vers 13h/13h30
Pour l'instant je n'en tire que du positif :
- J'ai moins envie de sucré. Lorsque j'ai faim j'ai envie de quelque chose de consistant et mon cerveau pense automatiquement "salé". Et le dessert est loin d'être indispensable.
- J'ai retrouvé de vraies sensations alimentaires. En plus de reconnaitre ma satiété (chose que je savais déjà faire mais qui ne me servait plus à grand chose en cas de grosses envies) je suis moins tiraillée entre mes envie et ma faim réelle. Par exemple, je n'ai jamais envie de goûter car je n'ai pas faim à 16h. Le distinguo envie vs. faim se fait naturellement ou plutôt se fond tout seul dans mon esprit : si j'ai envie d'un truc particulier c'est souvent parce que j'ai faim.
- Plus de sensations de ballonnements, de soucis de digestion, de ventre gonflé.
Moins de migraines aussi mais ça je ne sais pas si c'est lié !
- Et ça rejoint un peu ce que je disais plus haut : je n'ai à aucun moment l'impression de "forcer". Forcer à finir une assiette qui me donnerait mal au ventre ou me forcer à ne pas manger alors que mon estomac crie famine. C'est devenu naturel et maintenant le matin je n'ai pas faim donc je n'ai même pas la sensation de "jeuner" en fait.
J'ai pas eu l'occasion de me peser encore et je m'en fous, je me sens bien comme ça.
Maintenant c'est côté sport que j'aimerais faire un effort. Disons que j'ai "envie" d'être active mais que d'un autre côté je suis aussi très paresseuse. Et je sais que ça me ferait beaucoup de bien.
C'est fou parce qu'à 20 ans je faisais zéro sport et je pouvais manger deux hamburgers d'affilée au Qu*ck sans que ça n'ait aucune conséquence sur mon poids ou ma forme. Et là je "sens" que si je mange mal un soir et/ou que je ne fais pas de sport pendant 2 semaines je vais me sentir un peu mal fichue.
J'ai donc ce besoin de m'activer plus. Du coup j'essaye de marcher le plus possible en plus du running une fois par semaine.
C'est un point encore à développer.
Je viens faire un update. J'avais pris 4 kilos durant le confinement et je me sentais démoralisée.
Eh bien ça va beaucoup mieux surtout maintenant que je pratique le jeune intermittent ! Je ne compte pas vraiment les 16h de jeune, je mange le soir vers 20h/20h30 et je mange le midi avec mon mec ou mes collègues ce qui peut être autant vers midi que parfois vers 13h/13h30
Pour l'instant je n'en tire que du positif :
- J'ai moins envie de sucré. Lorsque j'ai faim j'ai envie de quelque chose de consistant et mon cerveau pense automatiquement "salé". Et le dessert est loin d'être indispensable.
- J'ai retrouvé de vraies sensations alimentaires. En plus de reconnaitre ma satiété (chose que je savais déjà faire mais qui ne me servait plus à grand chose en cas de grosses envies) je suis moins tiraillée entre mes envie et ma faim réelle. Par exemple, je n'ai jamais envie de goûter car je n'ai pas faim à 16h. Le distinguo envie vs. faim se fait naturellement ou plutôt se fond tout seul dans mon esprit : si j'ai envie d'un truc particulier c'est souvent parce que j'ai faim.
- Plus de sensations de ballonnements, de soucis de digestion, de ventre gonflé.
Moins de migraines aussi mais ça je ne sais pas si c'est lié !- Et ça rejoint un peu ce que je disais plus haut : je n'ai à aucun moment l'impression de "forcer". Forcer à finir une assiette qui me donnerait mal au ventre ou me forcer à ne pas manger alors que mon estomac crie famine. C'est devenu naturel et maintenant le matin je n'ai pas faim donc je n'ai même pas la sensation de "jeuner" en fait.
J'ai pas eu l'occasion de me peser encore et je m'en fous, je me sens bien comme ça.
Maintenant c'est côté sport que j'aimerais faire un effort. Disons que j'ai "envie" d'être active mais que d'un autre côté je suis aussi très paresseuse.
Et je sais que ça me ferait beaucoup de bien. C'est fou parce qu'à 20 ans je faisais zéro sport et je pouvais manger deux hamburgers d'affilée au Qu*ck sans que ça n'ait aucune conséquence sur mon poids ou ma forme.
Et là je "sens" que si je mange mal un soir et/ou que je ne fais pas de sport pendant 2 semaines je vais me sentir un peu mal fichue. J'ai donc ce besoin de m'activer plus. Du coup j'essaye de marcher le plus possible en plus du running une fois par semaine.
C'est un point encore à développer.
@Grumpy Bunny Je me suis posé la même question en lisant @Powpy 
(mais en vrai je souvent prends 1 ou 2 tasses de café au lait avec du chocolat en poudre mélangé en guise de petit déj, donc je ne pense pas que ce soit un jeûne).
(mais en vrai je souvent prends 1 ou 2 tasses de café au lait avec du chocolat en poudre mélangé en guise de petit déj, donc je ne pense pas que ce soit un jeûne).
@Grumpy Bunny J'avais entendu une vidéo YT d'une nana à ce sujet et elle disait que non ça ne suffisait pas car il y avait tout un côté spirituel dans le jeûne. Je ne me souviens pas exactement de ce qu'elle développait mais de mon côté j'essaye de me concentrer sur mes sensations, sur ma faim, etc. Et c'est pour cela que maintenant que je suis habituée à sauter le petit déjeuner je n'ai plus l'impression de jeûner puisque je ne sais plus du tout ça d'une façon volontaire et je me concentre moins sur mes sensations, sur les effets du jeûne sur mon corps, ma concentration, etc.
Et je confirme qu'il ne faut avaler aucune calorie pour que ce soit considéré comme du jeûne donc on peut boire un café pur mais il ne faut rien y ajouter.
@lueure Oui je buvais assez, je bois toujours régulièrement et dès que je fais des analyses je n'ai jamais aucun souci à ce niveau là donc je me demande vraiment à quoi mes violentes migraines étaient dues.
En tout cas j'en ai moins maintenant !
Et je confirme qu'il ne faut avaler aucune calorie pour que ce soit considéré comme du jeûne donc on peut boire un café pur mais il ne faut rien y ajouter.
@lueure Oui je buvais assez, je bois toujours régulièrement et dès que je fais des analyses je n'ai jamais aucun souci à ce niveau là donc je me demande vraiment à quoi mes violentes migraines étaient dues.
En tout cas j'en ai moins maintenant !
Bonjour les filles,
Je tenais juste à Jadresser un petit mot à toutes celles qui ont "alimenté" ce topic, notamment @Drôledeplume ! Merci pour votre bienveillance : depuis cette lecture hyper enrichissante, je mange à ma faim, ce que j'aime, me déculpabilise lors des écarts (je ne suis pas concernée par le grignotage mais davantage par les diners entre amis, déjeuner en famille, la bonne bouffe qu'implique la vie de couple!) et je relativise grave mon poids !
Je constate que non, je ne suis pas un puit sans fond, que non, je ne passe pas "ma vie à bouffer" : après un "écart", sans que ce soit de la restriction, j'ai juste moins faim et mon corps m'adresse vers une salade...naturellement, comme une personne NORMALE ! Alors MERCI !
J'essaie de réduire les portions car je constate que j'ai en réalité un petit apétit donc pas de problème à la maison, en revanche, je suis toujours incapable de laisser la MOINDRE MIETTE dans mon assiette lorsque l'on me sert au restaurant, lorsque ma mère me sert au cours d'un séjour chez elle... Alors même lorsque les portions sont ENORMES ! Hier par exemple ? Le midi, on m'a servi une MARMITTE de pâtes fondantes au canard et aux légumes, je n'éprouvais même plus de plaisir et j'ai fini, et le soir, mon amoureux a insisté pour aller au restau, j'ai pris une assiette de pâtes et une escalope fourrée à la mozzarelle et au jambon cru, pareil incapable de laisser la moindre pâte à la crème, de me "restreindre" alors que j'étais encore "gavée" du midi !
Et vous, comment gérez vous les restau ?
Je tenais juste à Jadresser un petit mot à toutes celles qui ont "alimenté" ce topic, notamment @Drôledeplume ! Merci pour votre bienveillance : depuis cette lecture hyper enrichissante, je mange à ma faim, ce que j'aime, me déculpabilise lors des écarts (je ne suis pas concernée par le grignotage mais davantage par les diners entre amis, déjeuner en famille, la bonne bouffe qu'implique la vie de couple!) et je relativise grave mon poids !
Je constate que non, je ne suis pas un puit sans fond, que non, je ne passe pas "ma vie à bouffer" : après un "écart", sans que ce soit de la restriction, j'ai juste moins faim et mon corps m'adresse vers une salade...naturellement, comme une personne NORMALE ! Alors MERCI !
J'essaie de réduire les portions car je constate que j'ai en réalité un petit apétit donc pas de problème à la maison, en revanche, je suis toujours incapable de laisser la MOINDRE MIETTE dans mon assiette lorsque l'on me sert au restaurant, lorsque ma mère me sert au cours d'un séjour chez elle... Alors même lorsque les portions sont ENORMES ! Hier par exemple ? Le midi, on m'a servi une MARMITTE de pâtes fondantes au canard et aux légumes, je n'éprouvais même plus de plaisir et j'ai fini, et le soir, mon amoureux a insisté pour aller au restau, j'ai pris une assiette de pâtes et une escalope fourrée à la mozzarelle et au jambon cru, pareil incapable de laisser la moindre pâte à la crème, de me "restreindre" alors que j'étais encore "gavée" du midi !
Et vous, comment gérez vous les restau ?
@Dolores00 J'ai rejoint la team doggy-bag 
non seulement c'est obligatoire de la part du restaurant de proposer d'emporter ce qui te reste, mais c'est aussi devenu socialement accepté, voire apprécié (conscience écologique, lutte contre le gaspillage alimentaire, etc). Sinon, il m'arrive souvent de commander juste une entrée, comme ça si elles sont vraiment petites je peux en prendre une seconde, et si c'est suffisant (genre si je n'ai pas très faim à ce moment-là) je m'arrête là.
non seulement c'est obligatoire de la part du restaurant de proposer d'emporter ce qui te reste, mais c'est aussi devenu socialement accepté, voire apprécié (conscience écologique, lutte contre le gaspillage alimentaire, etc). Sinon, il m'arrive souvent de commander juste une entrée, comme ça si elles sont vraiment petites je peux en prendre une seconde, et si c'est suffisant (genre si je n'ai pas très faim à ce moment-là) je m'arrête là.
Bonjour à toutes !
Je ne sais pas si ce topic est encore lu, mais je souhaiterais "l'alimenter" à nouveau! Je vous partage où j'en suis dans mon réequillibrage :
Mes points faibles :
- De grosses variations de poids
- Beaucoup de restau (italiens surtout : plats de pâtes à la crème, pizza, des brasseries)
- De l'alcool au quotidien (du vin, 2/3 verres par repas)
- Un amoureux qui fait de chaque repas une fête
Mes points "forts" :
- 3 repas à heures fixes, sans grignotage (ou alors une pomme verte au goûter)
- Des desserts légers (pomme, riz au lait)
- Je mange à ma faim, je respecte ma satiété (sauf au restau où j'ai du mal à laisser dans mon assiette)
Après une période d'anorexie, mon poids a beaucoup augmenté en partie en m'installant avec mon compagnon : viennoiseries au petit-dej, plats en sauce, alcool quotidien...Ce sont ces points que je dois "corriger" !
Bonne journée à toutes !
Je ne sais pas si ce topic est encore lu, mais je souhaiterais "l'alimenter" à nouveau! Je vous partage où j'en suis dans mon réequillibrage :
Mes points faibles :
- De grosses variations de poids
- Beaucoup de restau (italiens surtout : plats de pâtes à la crème, pizza, des brasseries)
- De l'alcool au quotidien (du vin, 2/3 verres par repas)
- Un amoureux qui fait de chaque repas une fête
Mes points "forts" :
- 3 repas à heures fixes, sans grignotage (ou alors une pomme verte au goûter)
- Des desserts légers (pomme, riz au lait)
- Je mange à ma faim, je respecte ma satiété (sauf au restau où j'ai du mal à laisser dans mon assiette)
Après une période d'anorexie, mon poids a beaucoup augmenté en partie en m'installant avec mon compagnon : viennoiseries au petit-dej, plats en sauce, alcool quotidien...Ce sont ces points que je dois "corriger" !
Bonne journée à toutes !
V
Vogel
Guest
Je veux bien réalimenter ce topic aussi 
J'ai perdu plus de 10kg depuis mai à l'aide d'une période de rééquilibrage/régime et pas que : grosse introspection, recherches... J'aurais envie de perdre un peu plus et surtout de regagner en capacités sportives et en énergie au quotidien.
Jusque là, mes différents angles de travail ont été d'analyser mes comportements alimentaires, de les comprendre et de mettre en place des stratégies pour les changer. J'ai remarqué que je grignotais beaucoup, à des moments précis, et j'ai réussi à arrêter en me répétant des espèces de "mantras" (je ne saurais pas quel mot utiliser
) : "manger n'est pas ce que tu veux réellement", "ce n'est pas grave de ne pas manger ce cookie", "tu n'es pas condamnée à manger tout le temps", "tu mangeras quand tu l'auras décidé..."... Et ça a pas mal marché car aujourd'hui j'ai moins besoin de passer par un effort conscient ! Par périodes je dois reprendre des temps pour réfléchir consciemment à mes motivations, et à d'autres ça se fait tout seul (le truc qui aurait été impossible il y a un an). J'ai aussi compris que j'avais souvent des fausses faims que je ne saurais pas expliquer (les émotions ? le sucre ? une mauvaise conscience de mon corps ?) et aujourd'hui je n'en ai plus du tout.
Je garde dans ma semaine mes moments où je me fais ultra plaisir, parce que pour l'instant j'ai décidé que ma vie sociale continuerai comme avant et que ma vie sociale c'est les restos et les bars. Je me force simplement à écouter ma faim et mes envies réelles, quitte à ne plus prendre de pain ou de dessert.
J'ai un programme d'une diet mais je le trouve souvent très culpabilisant (elle fait peser les légumes, WTF). Donc je m'en sers de base et l'améliore à ma sauce. Il m'a permis de prendre conscience que je pouvais manger moins sans avoir faim après, déjà, en équilibrant le type d'aliment dans l'assiette. Maintenant, je m'en détache quand j'ai envie de trucs en plus.
Mon objectif principal en tout cas c'était d'arrêter de subir des compulsions à répétition et mon dieu... C'est fini depuis plusieurs mois ! Quel soulagement !
Maintenant je vais essayer de continuer d'adapter mes repas et de trouver l'équilibre entre vie sociale riche en calories / vie quotidienne adaptée. Et puis je vais continuer le sport.
J'ai perdu plus de 10kg depuis mai à l'aide d'une période de rééquilibrage/régime et pas que : grosse introspection, recherches... J'aurais envie de perdre un peu plus et surtout de regagner en capacités sportives et en énergie au quotidien.
Jusque là, mes différents angles de travail ont été d'analyser mes comportements alimentaires, de les comprendre et de mettre en place des stratégies pour les changer. J'ai remarqué que je grignotais beaucoup, à des moments précis, et j'ai réussi à arrêter en me répétant des espèces de "mantras" (je ne saurais pas quel mot utiliser
) : "manger n'est pas ce que tu veux réellement", "ce n'est pas grave de ne pas manger ce cookie", "tu n'es pas condamnée à manger tout le temps", "tu mangeras quand tu l'auras décidé..."... Et ça a pas mal marché car aujourd'hui j'ai moins besoin de passer par un effort conscient ! Par périodes je dois reprendre des temps pour réfléchir consciemment à mes motivations, et à d'autres ça se fait tout seul (le truc qui aurait été impossible il y a un an). J'ai aussi compris que j'avais souvent des fausses faims que je ne saurais pas expliquer (les émotions ? le sucre ? une mauvaise conscience de mon corps ?) et aujourd'hui je n'en ai plus du tout. Je garde dans ma semaine mes moments où je me fais ultra plaisir, parce que pour l'instant j'ai décidé que ma vie sociale continuerai comme avant et que ma vie sociale c'est les restos et les bars. Je me force simplement à écouter ma faim et mes envies réelles, quitte à ne plus prendre de pain ou de dessert.
J'ai un programme d'une diet mais je le trouve souvent très culpabilisant (elle fait peser les légumes, WTF). Donc je m'en sers de base et l'améliore à ma sauce. Il m'a permis de prendre conscience que je pouvais manger moins sans avoir faim après, déjà, en équilibrant le type d'aliment dans l'assiette. Maintenant, je m'en détache quand j'ai envie de trucs en plus.
Mon objectif principal en tout cas c'était d'arrêter de subir des compulsions à répétition et mon dieu... C'est fini depuis plusieurs mois ! Quel soulagement !
Maintenant je vais essayer de continuer d'adapter mes repas et de trouver l'équilibre entre vie sociale riche en calories / vie quotidienne adaptée. Et puis je vais continuer le sport.
