<Rosenrot>;3169196 a dit :EDIT : Puisqu'on parle de viol, vous avec peut-être entendu parler de cette affaire :
Le Figaro - International : La nymphomane de Munich rcidive
Crêpe Georgette en a parlé : Une bonne blague ; le viol masculin
oui c'est le père d'un ami qui a récupéré le dossier mais j'ai pas plus de détail (je regarde pas la télé et ils en parlaient pas dans métro ) et en attendant à priori il y a eu pénétration alors ça s'appelle un viol en réunion et pas un bizutage chers journalistes (et ça a donné de la part d'un ami (qui ressemble d'ailleurs de moins en moins à un ami) des remarques homophobes YIPEE) (et quand on connait le reste de sa famille on se demande ou est le fuck parce qu'ils sont pas du tout comme ça)Dorian Gray;3169401 a dit :J'ai entendu également qu'un pompier a été victime d'une tournante sous couvert de "bizutage". Je trouve ça honteux que les journalistes ne prennent pas ça au sérieux. Merde quoi.
Mandorle;3170919 a dit :Il est maintenant possible en Argentine de changer de genre sur ses papiers d'identité, sans l'accord d'un médecin ou d'un juge (donc sans opération/stérilisation).
En Argentine, choisir son genre devient un droit
Je trouve ça fou, on en est encore tellement loin en France !
Eärendil;3171261 a dit :Par rapport à l'histoire viol des hommes/viol des femmes, ça me rappelle un truc que j'ai souvent entendu quand j'étais pré-ado/ado: quand une fille et un garçon n'ont pas les mêmes autorisations pour sortir, faire la fête, dormir chez des copains, on justifie ça par "mais lui, c'est pas pareil, c'est un garçon". Sous-entendu, lui, il peut se défendre, il ne se fera pas violer, et si il met une fille enceinte, bah on s'en fout, c'est elle qui est dans la galère.
Je grossis un peu le trait, mais j'ai tellement entendu cette phrase étant ado que ça m'a un peu "traumatisée". J'ai toujours trouvé ça très injuste, par exemple quand mon petit frère est allé à ses 1ères soirées (alcoolisées, avec des filles etc) à l'âge de 14 ans, alors que pour moi, je n'ai pas eu l'autorisation avant mes 17 ans. Et à chaque fois, la petite justification "c'est un garçon" paraissait absolument normale à tout le monde, parents, enfants, ado, filles ou garçons...
Pour tout te dire, je me suis également posée la question, d'autant que dans l'article, les journalistes utilisent indifféremment sexe et genre (ce qui m'a assez agacée) pour désigner la mention sur les papiers argentins (mais du coup, j'imagine que ça doit être genre).Bigle;3171374 a dit :Pour moi ce qui est indiqué sur les papiers en France c'est le sexe et pas le genre. Donc une information biologique au même titre que la taille ou la couleur des yeux, qu'on ne choisit pas. Alors que le genre je vois ça comme une information de personnalité (je ne veux pas dire qu'on choisit son genre, mais plutôt que le genre c'est pas inscrit dans ton corps).
N'empêche que je considère que le sexe est une information médicale intime qui n'a rien à faire sur les documents officiels. Le nom, la photo, la taille devraient suffire pour identifier quelqu'un. Sexe (ou genre, d'ailleurs) sont des informations personnelles et superflues.